• Un témoignage à écouter, pour que ça ne recommence jamais!

    Un blog  également qui permet de ne pas oublier combien l'être humain peut aussi être inhumain!


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  • Chaque samedi, nous, les nouveaux citadins de newlife, allons faire de la méditation, en général à Ogni Dove. J'ai entendu dans les branches que ce n'est pas le même niveau que celle du lundi soir, c'est juste comme une introduction. Samedi dernier, il était question de la parabole des talents. Bon, je connais la version Jésus, dont la leçon est : même si tu n'as qu'un talent et que tu ne l'utilises pas, il te sera retiré !

    Ma mère me disait : « Tu as bien de la chance Christiane, tu as reçu de nombreux talents ! ». C'est vrai, alors si j'ai bien compris la leçon de Jésus, il s'agit de les utiliser. Ici à Damanhur, depuis que je suis arrivée, certains de mes talents semblent vraiment bien plus utiles que d'autres : J'ai ramassé les feuilles. Je balaye, je lave le sol, j'enlève la poussière des meubles, j'arrose les plantes vertes, avec qui j'ai une relation toute particulière, j'arrange les coussins, une nappe sur la table pour que ce soit joli, je suspens le linge, je plie le linge, je range le linge, à la cuisine, je marine, je pèle, je coupe, je découpe, je fais frire, je fais cuire, je dresse la table, et puis je range, je lave, j'essuie... je dois y passer bien quatre heures par jour !

    Mais que va-t-il advenir de mes autres talents ? Si je ne les utilise pas ? Vont-ils m'être retirés ? J'espère que j'ai un peu de temps pour trouver où les utiliser ici ou ailleurs !

    Parce que voilà, mon questionnement actuel, c'est l'argent, cette énergie extraordinaire qui est, selon moi, faite pour circuler... J'ai une réserve d'argent, une petite réserve... Et là j'ai ouvert le robinet, et ce sont plus de cinq cents euros par mois qui s'échappent. Et dans ma dame-jeanne personnelle, pour l'instant, il n'y a que la sortie qui soit utilisée, l'entrée demeure tristement seule, sans voir personne...

    Alors mon ego se met à me harceler, mais oui, vous savez, celui qui crée le chaos dans ma tête, celui qui croit tout savoir et que j'ai bien du mal à domestiquer, à faire taire, à calmer.

    Conversations

    Ego : Mais tu te rends compte, tu paie cinq cents euros par mois, et en plus tu travailles quatre heures par jour, ça fait à peu près un mi-temps. En Suisse, ça vaut au minimum mille cinq cents francs par mois. Tu te fais rouler dans la farine ma veille, comme d'habitude.

    Moi : Tais-toi, je travaille parce que je le veux bien, je ne suis pas obligée, enfin pas autant !

    Ego : Ah tu crois ça ? Alors pourquoi on te demande : « Tu peux me faire une courtoisie, tu peux balayer l'extérieur ? » ou alors « Christiane, Gazelle est malade, peux-tu la remplacer ? »

    Moi : Arrête, tais-toi, j'aime rendre service, j'aime être utile, je le fais volontiers.

    Ego : Oui, tu le fais, pendant que les autres vont travailler et se font de l'argent, je te dis que tu te fais danser sur le ventre, ma vieille !

    Moi : Tais-toi, je te dis, ils ont construit un merveilleux temple, et toutes ces maisons, et encore certainement bien d'autres choses que j'ignore.

    Ego : Oui bien sûr, mais tu as payé cent huit euros pour les voir.

    Moi : C'est vrai mais maintenant, à de nombreuses occasions, j'y suis retournée gratuitement. Je t'ordonne de te taire, je ne veux pas t'écouter !

    Ego : Et comment tu vas faire quand tu n'auras plus d'euros ? Tu crois peut-être qu'ils vont te garder pour tes beaux yeux ? Ici, c'est le travail qui est précieux, et ils se le gardent. Tu as bien vu, tu as bien tenté de participer à l'amélioration de la version française du site internet, de traduire les trois premiers livres de Falco, de participer à l'organisation d'événements, rien ne bouge, ils ne veulent pas de toi ni de ton travail, ils se le gardent le travail !

    Moi : Ils sont très occupés ! Alors j'attends qu'ils me répondent !

    Ego : C'est cela, c'est cela... Tu as bien vu, même ceux qui sont retraités, et qui doivent bien encaisser une rente mensuelle, ils continuent de travailler. Le travail, ils se le gardent, je te dis ! Le travail rémunéré, on est d'accord, parce que pour ce qui est du travail gracieusement fait, ils sont d'une générosité sans borne.

    Moi : Tu es mauvaise langue. Tu veux juste mettre le trouble dans mon esprit quand moi je veux croire à l'abondance, croire que si je donne, sans calcul, juste pour le plaisir de donner, je participe à la circulation de l'énergie, je fais ma part dans le donner/recevoir, et ici il y a de quoi faire.

    Ego : Oui, tu donnes, tu fais ta part, mais tout cela, ce ne sont que des belles paroles que tu as entendues dans les cours de développement personnel. Je reviens avec ma question : que feras-tu quand ta réserve sera épuisée ?

    Moi : Tu ferais mieux de me donner des idées pour créer le travail qui rapporte de l'argent... Je sais bien que tu veux m'aider, que tu essayes de m'éviter des problèmes, que tu veux me protéger. Pour une fois, s'il te plaît, laisse-moi avoir confiance, me dire que ça va bien aller, que je n'ai pas de soucis à me faire. Regarde les oiseaux, ils ne demandent pas ce qu'ils vont manger le lendemain, ils se nourrissent et ils continuent leur vie d'oiseaux, ils volent, ils font leur nid, ils surveillent leurs oeufs...

    Ego : Et l'hiver ils meurent de faim !

    Moi : Et alors, c'est leur vie d'oiseaux, ils n'ont pas peur de manquer, eux. Un jour, je me suis arrêtée avec ma voiture parce que j'ai vu un oiseau immobile au bord de la route. Il était là, presque sans vie, comme serein. J'ai d'abord eu l'idée de la prendre et de le ramener à la maison. Mais il avait l'air si digne, son oeil me fixait, semblant me dire de le laisser là. Alors je suis restée un moment à côté et puis j'ai continué mon chemin. Cet oiseau-là m'a donné une belle leçon d'acceptation.

    Ego : Bla bla bla, admettons ! Il doit quand même y avoir quelque chose qui t'échappe, tu n'es pas chez toi ici, tu ne connais pas le fonctionnement, la mentalité italienne !

    Moi : C'est vrai. Je vais apprendre. Laisse-moi un peu de temps, laisse-moi avoir confiance. C'est un peu de l'alchimie, il doit bien y avoir quelqu'un pour recevoir ce que j'ai à offrir, sinon pourquoi l'aurais-je appris ?

    Ego : Là, je dois dire que tu me laisses sans voix !

    Moi : Et bien soit ! Reste tranquille !

    Et je vous dis, une tâche quotidienne importante pour moi, en ces jours de grand chambardement, pour garder calme et sérénité, c'est bien de veiller à ce que mon égo ne prenne pas toute la place.


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  • Ogni sabato, noi nuovi cittadini di newlife, andiamo a fare della meditazione, di solito, ad Ogni Dove.

    Ho sentito in giro, che non è lo stesso livello di quella del lunedì sera, è giusto come un'introduzione. L'ultimo sabato, l'argomento era la parabola dei talenti. Bene, conosco la versione di Gesù, che dice : anche se hai solamente un talento se non l'utilizzi, ti sarà ritirato !

    Mia madre mi diceva : " Tu sei fortunata Christiane, hai ricevuto numerosi talenti ! ." È vero, allora se ho compiuto bene la lezione di Gesù, si tratta di utilizzarli. Qui a Damanhur, da quando sono arrivata, certi dei miei talenti sembrano proprio ben più utili di altri : ho raccolto le foglie. Adesso, spazzo, lavo il pavimento, tolgo la polvere dei mobili, annaffio le piante verdi, con le quali, ho una relazione tutta particolare, aggiusto i cuscini, una tovaglia sul tavolo affinché sia bello, stendo la biancheria, piego la biancheria, sistemo la biancheria, alla cucina, marino, pelo, taglio, taglio, faccio friggere, faccio cuocere, preparo la tavola, e poi sistemo, lavo, asciugo... devo passare bene quattro ore al giorno !

    Ma che ne sarà dei miei altri talenti ? Se non li utilizzo ? Mi verranno ritirati ? Spero che ho un pò di tempo per trovare dove utilizzarli qui o altrove !

    Perché ecco, il mio problema attuale, sono i soldi, questa energia straordinaria che è, secondo me, fatta per circolare...

    Ho una riserva di denaro, una piccola riserva... E là ho aperto il rubinetto, e sono più di cinquecento euro per mese che scappano. E nella mia damigiana personale, per adesso, c'é solo l'uscita che è utilizzata, l'entrata rimane tristemente sola, senza vedere nessuno...

    Allora il mio ego si mette ad assillarmi, ma sì, sapete, quello che crea il caos nella mia testa, quello che crede sapere tutto e che faccio fatica ad addomesticare, a fare tacere, a calmare.

    Conversazioni

    Ego : Ma ti rendi conto, tu paghi cinquecento euro al mese, e più lavori quattro ore al giorno, ciò fa pressappoco la metà del tempo. In Svizzera, ciò vale al minimo mille cinquecento franchi per mese. Ti fai rigirare nella farina la mia vecchia, come al solito.

    Io : Taci, lavoro perché mi piace, non sono obbligata, e poi non lavoro tanto !

    Ego : Ah credi questo ? Allora perché ti viene chiesto : « Puoi farmi una cortesia, puoi spazzare l'esterno ? » oppure " Christiane, Gazzella è malata, puoi sostituirla ? "

    Io : Ferma, taci, amo fare i favori, amo essere utile, lo faccio volentieri.

    Ego : Sì, lo fai, mentre gli altri vanno a lavorare e si fanno del denaro, ti dico che ti fai danzare sul ventre, la mia vecchia !

    Io : Taci, ti dico, hanno costruito un meraviglioso tempio, e tutte queste case, ed ancora certamente altre cose che ignoro.

    Ego : Sì certamente, ma hai pagato centotto euro per vederli.

    Io : È vero ma adesso, ho numerose opportunità, sono tornata al tempio gratuitamente. Ti ordino di tacere, non ti voglio sentire !

    Ego : E come farai quando non avrai più euro ? Credi forse che vadano custoditi per i tuoi belli occhi? Qui, è il lavoro che è prezioso, e loro lo custodiscono. Hai ben visto, hai ben tentato di partecipare al miglioramento della versione francese del sito internet, di tradurre i primi tre libri di Falco, di partecipare all'organizzazione di avvenimenti, niente si muove, non vogliono te né il tuo lavoro, si tengono stretto il proprio lavoro !

    Io : Sono molto occupati ! Quindi aspetto che mi rispondano !

    Ego : Ciò è, ciò è... Hai ben visto, anche quelli che sono pensionati e che devono ben incassare una rendita mensile, continuano a lavorare. Il lavoro, se lo custodiscono, ti dico. Il lavoro remunerato, daccordo, mentre per quel che riguarda il lavoro graziosamente fatto, sono di una generosità senza limite.

    Io : Sei malalingua. Vuoi mettere appena l'agitazione nel mio spirito quando io voglio credere all'abbondanza, credere che se do, senza calcolare, giusto per il piacere di dare, partecipo alla circolazione dell'energia, faccio la mia parte nel dare/ricevere, e qui c'è da fare.

    Ego : Sì, dai, fai la tua parte, ma tutto ciò, sono solamente delle belle parole che hai sentito nei corsi di sviluppo personale. Ritorno con la mia domanda: che cosa farai quando la tua riserva sarà esaurita?

    Io : Faresti meglio a darmi delle idee per creare il lavoro che riporta denaro... So bene che vuoi aiutarmi, che provi ad evitarmi dei problemi, che vuoi proteggermi. Per una volta, per favore, lasciami avere fiducia, dimmi che ciò andrà bene, che non ho preoccupazioni da farmi. Guarda gli uccelli, non chiedono ciò che vanno a mangiare l'indomani, si nutrono e continuano la loro vita di uccelli, volano, fanno il loro nido, sorvegliano le loro uova...

    Ego : E l'inverno muoiono di fame !

    Io : E allora ! è la loro vita di uccelli, non hanno paura che gli manchi qualcosa, loro. Un giorno mi sono fermata con la mia macchina perché ho visto un uccello al bordo della strada. Era là, come sereno. Ho prima avuto l'idea di prenderlo e portarlo a casa. Ma aveva l'aria così degna, il suo occhio mi fissava, sembrava dirmi di lasciarlo là. Allora, sono restata accanto un momento e poi ho continuato la mia strada. Quell'uccello mi ha dato una bella lezione di accettazione.

    Ego : Bla bla bla, ammettiamo ! Deve esserci ugualmente qualcosa che ti sfugge, non sei nel tuo paese qui, non conosci il funzionamento, la mentalità italiana !

    Io : È vero. L'apprenderò. Lasciami un poco di tempo, lasciami avere fiducia. Questo è un pò come l'alchimia, deve esistere qualcuno per accettare ciò che ho da offrire, se no perché l'avrei imparato ?

    Ego : Devo dire che mi lasci senza parole !

    Io : E bene, sia ! Resta tranquillo !

    E io voglio dirvi, un compito quotidiano importante per me, in questi giorni di grande soqquadro, per custodire calma e serenità, è bene badare a che il mio ego non prenda tutto il posto.

    Christiane Kolly – 19 gennao 2011


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  • Pour sauver notre planète SUZUKI avait affronté, a 12 ans, les Nations Unis!

    Tu te souviens certainement de cette petite fille  "Severn SUZUKI, qui en 1992, a tenu un discours devant les membres des Nations Unis a l'occasion du premier sommet de la terre. Souviens-toi ce qu'elle disait en 1992:

    "Je suis ici pour vous parler au nom des générations futures (elle avait 12 ans)   .... n'oubliez pas pourquoi vous êtes ici ... c'est pour vos propres enfants ...  vous êtes ici pour décider de l'avenir .....  vous êtes ce que vous faites et non pas ce que vous dites .....  ce que vous avez fait et continuez a faire me fait pleurer la nuit.... vous dites que vous nous aimez ... mais s'il vous plait faites que vos actions reflètent ces mots la ...."    et personne ne l'a écoutée, elle a 29 ans et attend un enfant

    Le film Severn va sortir! bande annonce

    "La planète va mal en certains endroits mais il y aussi des personnes qui font de belles choses."


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  • L'ONF a  permis la sortie du documentaire sous condition qu'aucune personne, aucun commerce, ne puisse acquérir le film pour la revente. De plus aucune publicité ne sera faite pour faire connaître la sortie DVD.
    Conséquemment la  population ne sera pas informée de la sortie du documentaire.
    Pour cette  raison, je vous remercie de faire parvenir ce courriel à tous vos contacts, que
     l'information circule et que la sortie du documentaire ne reste pas sous silence.
    Il faut cliquer sur chaque minutage sous l'écran si nécessaire pour visualiser tout le documentaire de l'Office Nationale du Film (n'a pas été nécessaire pour moi....le  film s'est déroulé sans aucun arrêt).
     
    A VOIR ABSOLUMENT SI VOUS AVEZ DES  ENFANTS !
     

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  • Dieu ordonna à David de guetter, et David Guetta
    Dieu ordonna à Hélène de s'égarer, et Hélène Ségara
    Dieu ordonna à Thierry d'en rire, et Thierry Henry
    Dieu ordonna à Bruce de lire, et Bruce Lee
    Dieu ordonna au coca de coller, et coca-cola
    Dieu ordonna à Mouss de taffer, et Moustafa
    Dieu ordonna à Carla de bronzer, et Carla Bruni

    Encore un peu?
    Dieu ordonna à Robinson de croire Zoé, et Robinson Cruzoé
    Dieu ordonna à Fred d'avoir cet air, et depuis, Fred Astair
    Dieu ordonna de tuer Zani, et Panzani
    Dieu ordonna à Philippe de faire des créneaux, et depuis, Philippe Manoeuvre
    Dieu ordonna de la drogue aux crocos, et depuis, les crocodiles
    Dieu ordonna que Lionel Jos peigne, et Lionel Jos peint
    Dieu ordonna à Lady de faire un gag et Lady Gaga
    Dieu ordonna à REX de sonner et REXONA

     
    Pour finir....
    Dieu dit à Casto de ramer, et Castorama
    Dieu dit à Lustu de croire, et Lustucru
    Dieu dit ton petit lira, et le petit Lu
    Dieu me dit cette robe va t'aller, et oh my Gad Elmaleh!!
    Un jour Dieu dit à Katty de mourir, et Katty Perry
    Dieu dit à Aloe « tu vas voir », et Aloe Vera
    Dieu dit à Inch d'aller, et INCHALLAH


    Auteur inconnu


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  • Sono veramente fiero e felice del mio valore. Nato più di trent'anni fa, i miei primi anni sono stati piuttosto difficili. Ero pesante ma, soprattutto, costavo molto caro. Certamente, ciò ha permesso a numerosi esseri umani di colmare il loro grande bisogno di affermazione, poiché solo loro, garanti, potevano pagarmi. Ciò gli permetteva di manifestare un'apparente ricchezza e potere. Accessorialmente, bisogna dire che funzionavo piuttosto male a causa di una mancanza di ritrasmissioni e, quindi, accessorialmente ciò permetteva loro anche di comunicare ...

    Ma sono migliorato. Così, ho iniziato a essere più popolare, anche se ho perso il mio valore originario, tuttavia, ho guadagnato numero di adepti. Non era ancora possibile per tutti acquistarmi. È stato grazie alla mia utilità che ho sedotto. In più, mi sono alleggerito come peso e come costo.

    Ma mai e poi mai, qualcuno avrebbe creduto che, vent' anni dopo, avrei acqusito tale valore. Siete d'accordo che c'è sempre qualcosa di cui andare fieri? Quasi tutti gli adulti mi hanno acquistato, per non parlare degli adolescenti per i quali avermi rappresenta una tappa importante della loro vita. Ho azzeccato un « tour de force », sono diventato indispensabile !

    Alcuni mi amano un pò meno, mi usano soltanto in caso di bisogno e mi dimenticano per la maggior parte del tempo. Ma la maggioranza è diventata dipendente ! Così mi ritrovo nella borsa delle donne così come nella tasca degli uomini.

    Indispensabile, vi dico, indispensabile !

    Potete vedermi all'orecchio delle persone. Gli uomini sono diventati di nuovo peripatetici. Sì, somigliano a quelli dell'epoca di Aristotele che lavoravano caminando ... Ma sembrano, tuttavia, molto strani, a vederli parlare così, soli !

    Non hanno il tempo di fermarsi, quando incrociano qualcuno, per parlare cinque minuti, per dire " come va ? " o " Cosa ne pensi dell'ultimo incontro del gruppo ? " La cosa più importante sono io !

    Mi succede di essere io stesso stupito di tanto riconoscimento! Mi sorprendo a pensare quanto essi esagerano !

    Due o tre persone in piena conversazione, è sufficiente che io mi manifesto, che, all'improvviso, una di loro si ferma secca, talvolta senza dire niente, si allontana dal gruppo e io mi avvicino delicatamente al suo orecchio. Sono diventato più importante delle persone presenti ed io sono contento !

    Vi racconto una piccola storia molto divertente :

    Lampone

    Buongiorno Ciliegia, ho bisogno di parlare con te, quando ci possiamo vedere ?

    Ciliegia

    Fammi pensare ...

     

    Dring dring ... e sono io che prendo il posto !

    Ciliegia

    Scusami Lampone. Ah sì, mi vuoi parlare ... Sono molto occupata ... Bene d'accordo, si può parlare adesso !

     

    Dring dring ... e ancora io che prendo spazio !

    Ciliegia

    Oh là là ... Capisci Lampone, era veramente importante, dovevo proprio rispondere !

    Lampone

    Sì Ciliegia, capisco. Volevo parlarti di ...

     

    Dring dring ... e di nuovo io !

    Ciliegia

    Si ... mi dispiace ... (sembra confusa, in ogni caso ne dà l'impressione). Volevi parlarmi di cosa !

    Lampone

    Ho bisogno di informazioni. Devo trovare un mezzo per ...

     

    Dring dring ... !

    Ciliegia

    Bene, forse è meglio che lo spengo ?!? Mi dispiace ! Sì, hai bisogno di informazioni di che genere ?

    Lampone

    Devo fare una scelta ? Ho sentito in giro che ci sono parecchie possibilità per vivere qui, puoi darmi qualche dettaglio in più per favore ?

    Ciliegia

    Allora, per ciò che riguarda ...

     

    Dring dring ... e sono io che ho vinto ! E duro cinque minuti !

    Ciliegia

    Ah si... cosa dicevi ?

    Lampone

    ... le diverse possibilità per restare qui !

    Ciliegia

    Ah ! Per questa cosa, devi parlare con Prugna !

     

    Dring dring ! Ciliegia fa un segno con la mano a Lampone e si allontana, una chiamata importante !

    Storia vera ! Vissuta personalmente !

    Allora un consiglio: quando avete bisogno di parlare con qualcuno e non essere interrotti

    METTETEVI DIFRONTE A LUI E UTILIZZATEMI, TELEFONATEGLI !

    Christiane Kolly – 12 gennaio 2011


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  • "Vous souhaiter..

    Je ne peux que vous souhaiter...
    Seulement vous souhaiter...
    et formuler des vœux,
    car leur réalisation vous appartient,

    de vous respecter dans chaque instant de vie,
    de vous entendre dans chaque décision,
    de vous aimer dans chaque choix,
    de vous respecter dans vos sentiments,
    dans vos contradictions,
    dans chacun des gestes de votre quotidien,
    dans les échanges et les rencontres,
    dans l'imprévisible de l'existence ;

    de vous respecter dans votre ouverture,
    dans vos découvertes et votre quête,
    dans vos errances et vos envols,
    dans l'appel vers de nouvelles naissances,
    de vous accueillir dans vos possibles,
    de vous dynamiser dans la transformation des rêves en projets,
    de vous respecter dans vos positionnements,
    dans chaque parole, dans vos messages,
    de vous rejoindre au plus profond
    dans ce que vous allez transmettre
    ou amplifier de vous en vous.

    Et vous dire plus simplement,
    que c'est dans le respect vigilant de vous-même,
    dans la pratique fervente de votre cohérence,
    que vous grandirez et croîtrez

    Pour respecter la part de divin qui est en vous,
    Pour aller dans le sens de votre vocation profonde,
    qui est de tendre vers plus d'humanitude,
    vers plus d'amour et vers plus d'absolu,
    Vous deviendrez alors des passeurs, des transmetteurs de vie,
    des artisans d'espérance, des levains de soleils,
    car vous allez rayonner plus vif que jamais.

    Merci à vous d'oser tous ces respects de vous
    et d'en prolonger les vibrations
    les énergies et la lumière dans chacune de vos rencontres."

    de Jacques Salomé


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  • Parler... parler...

    Je suis vraiment fier et heureux de mon importance. Né il y a plus de trente ans, mes débuts ont été plutôt difficiles. Je pesais lourd et surtout, je coûtais très cher. Bien sûr, ça a permis à de nombreux humains de combler leur grand besoin d'importance, puisque seuls eux, nantis, pouvaient me payer. Ça leur permettait de parader avec un signe extérieur de puissance et de richesse. Accessoirement, il faut dire que je fonctionnais plutôt mal, à cause d'un manque de retransmissions, accessoirement donc, ça leur permettait aussi de communiquer ...

    madametelephoneMais je me suis amélioré. Ainsi, j'ai commencé à devenir plus populaire, même si j'ai perdu en préciosité, j'ai gagné en nombre d'adeptes. Mais ce n'était pas encore donné à tout le monde de m'acquérir. C'est par mon utilité que j'ai séduit. De plus, je me suis allégé en poids et en coût.

    Mais jamais au grand jamais quelqu'un aurait cru, il y a vingt ans seulement, que je prendrais une telle importance. Vous êtes d'accord qu'il y a de quoi être fier : Quasi chaque humain adulte a fait mon acquisition, sans parler des adolescents pour qui me recevoir est un étape importante de leur vie. J'ai réussi un tour de force, je suis devenu indispensable !

    Certains m'aiment un peu moins, ils ne m'utilisent qu'en cas de besoin absolu et m'oublient la plupart du temps. Mais la majorité des humains sont devenus accrocs ! C'est comme ça que je me retrouve dans le sac des dames aussi bien que dans la poche des messieurs. Indispensable, je vous dis, indispensable !

    Vous pouvez me voir à l'oreille des gens. Ils sont redevenus péripatéticiens, oui ils ressemblent à ceux de l'époque d'Aristote qui travaillaient en marchant ... Mais ils ont quand même un peu l'air étrange, de parler comme ça, tout seul !
    Ils ne prennent pas le temps de s'arrêter, lorsqu'ils croisent quelqu'un, pour parler cinq minutes, pour dire « comment ça va ? » ou « Que penses-tu de la dernière rencontre du groupe ? ». L'important c'est moi !

    Il m'arrive d'être moi-même étonné de tant de sollicitude ! Je me surprends à penser qu'ils exagèrent !

    Deux ou trois en pleine conversation, il suffit que je me manifeste pour que l'un d'eux s'arrête sec, parfois sans rien dire, s'éloigne presque toujours du groupe et m'approche délicatement de son oreille. Je suis devenu plus important que les hommes présents et j'en suis bien content !

    Je vous rapporte une petite histoire très amusante :

    Framboise

    Bonjour Cerise, j'ai besoin de m'entretenir avec toi, quand peut-on se parler ?

    Cerise
    Laisse-moi réfléchir ...
     
    Dring dring ... et c'est moi qui passe !
    Cerise
    Excuse-moi Framboise. Ah oui, tu veux me parler ... Je suis très occupée ...
    Bon d'accord, on peut se parler maintenant !
     
    Dring dring ... et c'est moi qui passe !
    Cerise
    Oh la la ... Tu comprends Framboise, c'était vraiment important,
    j'étais obligée de répondre !
    Framboise
    Oui Cerise, je comprends. Je voulais te parler de ...
     
    Dring dring ... et c'est moi qui passe !
    Cerise
    Oui ... désolée ... (elle semble confuse, en tout cas elle en donne
    l'impression). Tu voulais me parler de quoi !
    Framboise
    J'ai besoin de renseignements. Je dois trouver un moyen pour ...
     
    Dring dring ... et c'est moi qui passe !
    Cerise
    Bon, il faudrait que je l'arrête ?!? Je suis désolée !
    Oui, tu as besoin de renseignements à quel sujet ?
    Framboise
    Comment faire un choix ? J'ai entendu dans les branches qu'il y a plusieurs
    possibilités pour rester ici, tu peux me donner quelques détails s'il te plaît ?
    Cerise
    Alors pour cela ...
     
    Dring dring ... et c'est moi qui gagne ! Et ça dure cinq minutes !
    Cerise
    Tu disais ?
    Framboise
    ... les différentes possibilités de rester ici !
    Cerise
    Ah ! Pour cela, tu dois parler avec Prune !
     
    Dring dring ! Cerise fait un signe de la main à Framboise et s'éloigne,
    un appel important !

    Histoire vraie ! Je l'ai vécue !

    Alors moi je vous dis, quand vous avez besoin de parler à quelqu'un, pour ne pas être interrompu, je vous donne un truc du tonnerre :

    METTEZ-VOUS EN FACE ET UTILISEZ-MOI, TÉLÉPHONEZ-LUI !


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