• Lors d'une de ses émissions, une célèbre animatrice radio états-unienne fit remarquer que l’homosexualité est une perversion. "C’est ce que dit la Bible dans le livre du Lévitique, chapitre 18, verset 22 : "Tu ne coucheras pas avec un homme comme on couche avec une femme : ce serait une abomination". La Bible le dit. Un point c’est tout", affirma-t-elle. 

    Quelques jours plus tard, un auditeur lui adressa une lettre ouverte qui disait : 

    "Merci de mettre autant de ferveur à éduquer les gens à la Loi de Dieu. J’apprends beaucoup à l’écoute de votre programme et j’essaie d’en faire profiter tout le monde. Mais j’aurais besoin de conseils quant à d’autres lois bibliques. 

    Par exemple, je souhaiterais vendre ma fille comme servante, tel que c’est indiqué dans le livre de l’Exode, chapitre 21, verset 7. A votre avis, quel serait le meilleur prix ? 

    Le Lévitique aussi, chapitre 25, verset 44, enseigne que je peux posséder des esclaves, hommes ou femmes, à condition qu’ils soient achetés dans des nations voisines. Un ami affirme que ceci est applicable aux mexicains, mais pas aux canadiens. Pourriez-vous m’éclairer sur ce point ? Pourquoi est-ce que je ne peux pas posséder des esclaves canadiens ? 

    J’ai un voisin qui tient à travailler le samedi. L’Exode, chapitre 35, verset 2, dit clairement qu’il doit être condamné à mort. Je suis obligé de le tuer moi-même ? Pourriez-vous me soulager de cette question gênante d’une quelconque manière ? 

    Autre chose : le Lévitique, chapitre 21, verset 18, dit qu’on ne peut pas s’approcher de l’autel de Dieu si on a des problèmes de vue. J’ai besoin de lunettes pour lire. Mon acuité visuelle doit-elle être de 100% ? Serait-il possible de revoir cette exigence à la baisse ? 

    Un de mes amis pense que même si c'est abominable de manger des fruits de mer (Lévitique 11:10), l'homosexualité est encore plus abominable. Je ne suis pas d'accord. Pouvez-vous régler notre différend ?

    La plupart de mes amis de sexe masculin se font couper les cheveux, y compris autour des tempes, alors que c'est expressément interdit par Le Lévitique (19:27). Comment doivent-ils mourir ?

    Je sais que l'on ne me permet aucun contact avec une femme tant qu'elle est dans sa période de règles (Levitique. 15:19-24). Le problème est : comment le dire ? J'ai essayé de demander, mais la plupart des femmes s'en offusquent...

    Quand je brûle un taureau sur l'autel du sacrifice, je sais que l'odeur qui se dégage est apaisante pour le Seigneur (Levitique. 1:9). Le problème, c'est mes voisins : ils trouvent que cette odeur n'est pas apaisante pour eux. Dois-je les châtier en les frappant ?

    Un dernier conseil. Mon oncle ne respecte pas ce que dit le Lévitique, chapitre 19, verset 19, en plantant deux types de culture différents dans le même champ, de même que sa femme qui porte des vêtements faits de différents tissus, coton et polyester. De plus, il passe ses journées à médire et à blasphémer. Est-il nécessaire d’aller jusqu’au bout de la procédure embarrassante de réunir tous les habitants du village pour lapider mon oncle et ma tante, comme le prescrit le Lévitique, chapitre 24, versets 10 à 16 ? On ne pourrait pas plutôt les brûler vifs au cours d’une simple réunion familiale privée, comme ça se fait avec ceux qui dorment avec des parents proches, tel qu’il est indiqué dans le livre sacré, chapitre 20, verset 14 ?

    Je sais que vous avez étudié à fond tous ces cas, aussi ai-je confiance en votre aide. 

    Merci encore de nous rappeler que la loi de Dieu est éternelle et inaltérable. 

    Votre disciple dévoué et fan admiratif."

    source : http://www.comlive.net/A-tous-les-homophobes-citant-la-bible,112063.htm


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  • Se pourrait-il que... informations non vérifiées...
    Des puces sur les humains...
    nous ne sommes plus dans un film de sicence fiction...

    Ce n'est plus de la paranoïa, (comme certains pouvaient le prétendre jusqu'alors), puisque c'est officiel, leur masque est tombé...! Le puçage humain suivra, celui des animaux... sur toute la planète, législation US oblige ! (Entrons dès aujourd'hui en Résistance) mot clé sur google : Verichip
    Une puce d'identification implantée dans tous les américains à partir de 2013. Voici les véritables raisons de l'empressement d'Obama à faire passer la loi HR 3200 sur la santé aux USA.
    Ne nous faisons pas d'illusions, des accords doivent exister aussi en Europe et dans le monde entier pour tous nous pucer. Nous en avons eu, déjà, une démonstration avec la vaccination contre le virus de la GrippeA/H1N1 que l'OMS et que les pays voulaient rendre obligatoire. Ce n'était qu'un test pour voir comment nous allions nous comporter face à ce danger
    Se pourrait-il que les Illuminatis, qui ont été entravés par notre résistance à accepter la vaccination criminelle et l'instauration du Nouvel Ordre Mondial, aient mis en place d'autres plans qu'ils tenaient en réserve pour nous contraindre à accepter le puce et l'instauration du Nouvel Ordre Mondial ? Par exemple créer un nouvel attentat (la marée noire dans le Golfe du Mexique) par exemple pour déplacer 50 000 millions de personnes, soi-disant pour leur bien, dans les camps de la FEMA pour les pucer !?
    Dans 36 mois devrait commencer une opération sur le sol américain d'implantation de micro-puce d'identification sur tous les américains.
    Dans le projet de loi de Obama sur la santé, HR 3200, à la page 1001, il est prévu que sur tous les américains sera implantée une micro-puce dans le but de créer un registre national. Le "micro-puçage" devrait commencer dans 36 mois (3 ans).
    Ce nouveau projet de loi relatif aux soins de santé, le HR3200, qui vient juste d'être adopté par le congrès, stipule que toutes les personnes qui en dépendent soient micro-pucés. Les projets pour ce "micro-puçage" étaient déjà prévus depuis décembre 2004.
    Voici le document officiel de la F.D.A (Food and Drug Administration), daté du 10 décembre 2004, et intitulé «Class II Special Guidance Document: Implantable Radiofrequency Transponder System for Patient Identification and Health Information» qui parle du sujet.
    A présent prenez note de la formulation utilisée dans le projet de loi HR 3200, « America's Affordable Health Choices Act of 2009 » qui se trouve sur le site web des Congresses House Ways and Means (méthodes et moyens de la chambre des congrès)
    A la page 1001, on trouve "Subtitle C - National Medical Device Registry" qui stipule :
    The Secretary shall establish a national medical device registry (in this subsection referred to as the "registry") to facilitate analysis of postmarket safety and outcomes data on each device that (A) is or has been used in or on a patient; and (B) is a class III device; or (ii) a class II device that is implantable.
    En d'autres termes, toute personne ayant été "micro-pucée" en vertu de la nouvelle loi sur les soins de santé devra être enregistrée auprès du « Secretary ». Le « Secretary » étant le ministre de la santé et des services sociaux.
    La date à partir de laquelle ce registre doit débuter est rendue obligatoire à la page 1006, et correspond à une période de 36 mois après que le projet de loi soit devenu une loi relative à la santé.
    Par conséquent, en vertu de la loi HR 3200 récemment adoptée par le congrès, le puçage des américains doit commencer d'ici l'an 2013.
    http://www.fda.gov/downloads/medicaldevices/deviceregulat...
     

    Qu'en pensez-vous ?


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  • Où est la vérité ? 

    Mais arrêtons d'avaler n'importe quoi!

    René Bickel , est un autodidacte qui se classe parmi les dessinateurs engagés. Sans concession aucune, il dépeint dans ses albums les coulisses d’une société dont le «progrès» réside avant tout dans la mise en place d’un ordre mondial dont il s’attache à démontrer les buts premiers et inavoués de la domination et de l’exploitation des individus.
    Écologiste dans l’âme, pour faire passer ses messages, il a choisi une arme redoutable : l’humour, de faire d’un sujet grave une récréation sérieuse accessible, simple et ludique.
    Pédagogique et humoristique ses ouvrages devraient être déclarés d’intérêt public !


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  •  

    Un autre regard sur notre façon de vivre 

    photo01

    photo02
    • Pour mieux comprendre l’aberration d’un comportement social il faut en être extérieur…
    • Ainsi l’aspect monstrueux du pied de lotus ne l'empêchait pas d'être considéré comme la partie la plus érotique du corps féminin, et les délicats chaussons ou bottillons qui les couvraient étaient, par association, source de délices.

    Seins et soutien-gorge un comportement social

    • Chez nous une des parties les plus érotiques du corps féminin sont les seins et par association le soutien-gorge.
    • Pourtant les seins ne servent qu’à nourrir les enfants et sont synonymes de maternité dans la plupart des régions du monde.
    • Le soutien-gorge est devenu ainsi un pilier de la mode.
     

    photo03

    Les alertes du milieu médical

    photo04

    • Pourtant c'est aux environs de 1930 qu'a été publiée une première étude qui faisait déjà une relation entre les soutien-gorge et l'augmentation du nombre de femmes ayant un cancer du sein.
    • Depuis les études de chercheurs et médecins pourtant publiées se succèdent mais ne trouvent pas leur écho dans la population féminine souvent conditionnée par les médias et la publicité.

    Le soutien-gorge et le drainage lymphatique

    photo05

    • Une très récente étude menée par deux médecins anthropologues met en évidence le lien entre le port du soutien-gorge et le cancer du sein.

    Compression des ganglions lymphatiques

    • Le soutien-gorge compressant les divers ganglions et canaux lymphatiques, les toxines ne sont plus éliminées naturellement par le drainage lymphatique et s’accumulent dans le sein faisant apparaître au fil du temps, kystes fibrokystes et tumeurs cancéreuses.

    photo06

    Les capillaires lymphatiques

     
    • Les capillaires lympha-tiques sont sous-cutanés (juste à fleur de peau) et microscopiques. Leur compression se fait par simple pression et empêche la lymphe chargée de déchets d'aller se déverser dans les vaisseaux ou même dans les ganglions. Cette lymphe devient alors stagnante et les toxiques qu'elle n'a pas pu évacuer feront des dégâts sur place.
    • Les soutien-gorge plus ou moins serrés par leurs élastiques, leurs arma- tures ou par leurs bonnets qui remontent les seins compriment ces capillaires et vaisseaux lymphatiques empêchant la circulation lymphatique.

    photo07

    Le réchauffement permanent des seins

    • Les soutien-gorge par leur tissu enveloppant les seins et par la compres- sion exercée sur les seins, augmentent sensiblement la température du sein. Ceci est prouvé par des études thermo graphiques
    • On sait qu'un sein pré- cancéreux ou cancé- reux est plus 'chaud' qu'un sein non cancéreux

    photo08

    Le massage naturel du sein libre

    • Le mouvement naturel du sein libre pendant la mar- che crée normalement un massage qui fait circuler le lymphe.

    photo09

    • Lorsque ce mouvement naturel est entravé, la lymphe ne circule plus, les toxines s’accumulent et kystes et tumeurs apparaissent.

    photo10

    Des résultats d’enquête stupéfiants

    photo11

    • L’étude sur le cancer a révélé que 3 femmes sur
    • 4 qui ont un cancer du sein portent régulièrement un soutien-gorge contre une sur 168 qui n’en portent pas du tout.
    • Le risque d'avoir un cancer du sein est donc 125 fois supérieur selon que l'on ne porte pas du tout un soutien-gorge ou que l'on en porte un 24h/24.
    • Porter un soutien-gorge donnerait donc 12 fois plus de risque de dévelop- per un cancer que fumer.

    photo12

    Un accessoire de mode destructeur ?

    photo13

    photo15

    photo14

    • Certains pays (Japon, provinces de l’Inde, Fidji, Maoris…) n’hésitent pas à faire des campagnes pour un retour au vêtement traditionnel seins libres, depuis l’apparition du cancer du sein avec l’adoption de la mode occidentale.
    • En effet, les femmes vivant à la mode occidentale développent des cancers dans ces mêmes pays ou les autres vivent seins libres de façon traditionnelle et n’en développent pas.

    Un faux besoin

    • Depuis 1978, plusieurs études médicales en France, aux États-unis, au Japon et en Grande-Bretagne ont mis en avant que, contrairement aux idées reçues, le soutien- gorge peut augmenter la chute des seins.
    • Pourtant les lobbies de l’industrie textile n’ont de cesse de clamer ce qu’ aucune étude médicale ne dit !

    photo16

    • De plus, le port de cet article de lingerie et le manque d’exposition au soleil réduit le taux de mélatonine, que l’on considère comme une molécule anti-cancéreuse.
    • Le soutien gorge est inutile et favorise la chute des seins.

    photo17

     
     
    • Certaines études parallèles au Japon et notamment en France avec le professeur Jean-Denis Rouillon, méde- cin du sport au CHU de Besançon ont démontré que le port du soutien- gorge favorisait l’affais-sement de la poitrine.
    • L'arrêt du port du soutien-gorge est bien supporté par les femmes en terme de confort et d'esthétique. Contrairement aux idées reçues, le sein ne tombe pas mais il se raffermit, remonte et la qualité de la peau s'améliore ».

    Le soutien gorge est inutile et favorise la chute des seins

    •  En effet, les ligaments de Cooper et les muscles peauciers qui sont les soutiens naturels de la poitrine ne travaillant plus, ceux-ci s’atrophient et la poitrine perdant sa fermeté s’affaisse encore plus rapidement avec le temps.
    •  Le sein est donc enve- loppé dans « une mem- brane mince et très solide, d'autant plus costaud qu'elle travaille ». Il est également « suspendu comme un filet à pro- vision » par ces ligaments reliés à la peau. D'où parfois, lors de l'arrêt du port du sous-vêtement, une désagréable sensation de tiraillement pouvant durer quelques semaines avant qu’ils ne reprennent de la vigueur.

    photo18

    La croissance chez la jeune fille

    photo19

    • Chaque mère, conditionnée par notre société, affuble sa fille de cet accessoire lorsque sa poitrine devient naissante.
    • Ceci contribue déjà à la chute de la poitrine parce que les éléments anatomiques de suspension du sein, à la fois musculaire (le platysma) et conjonctif (l’ensemble des fascias), se renforcent lors de la croissance car la pesan- teur ou les contraintes mécaniques appliquées au sein libre s’exercent.
    • Les tissus composant le sein ne se distendent donc pas sans soutien-gorge, malgré une augmentation du volume mammaire. Le sein n’évolue pas vers la ptose et s’avère plus ferme.

    Étude médicale sur l’évolution du confort
    sans soutien-gorge (2009)

    photo20

     
    Extrait de la thèse de Olivier Roussel sous la direction de Jean Denis Rouillon

    Prévention de la ptose
    (chute des seins) sans soutien-gorge

    • L’angle de l’axe du mamelon par rapport à l’horizontale augmente en moyenne de 180% !
    • Il s’agit d’une évolution esthétiquement favorable puisque inverse de la ptose. Le sein libre se fortifie.
    • Ne jamais porter de soutien-gorge donne donc une poitrine naturellement plus ferme et plus haute contrairement aux idées reçues.

    photo21

    Extrait de la thèse de Olivier Roussel sous la direction de Jean Denis Rouillon

    Un maintien mécanique naturel

    • En posant des capteurs sur des athlètes, des chercheurs sportifs ont pu découvrir que leur poitrine parcourt ainsi 6 cm de haut en bas et 9 cm de la gauche vers la droite au cours des diverses pratiques sportives. Ce sont ces mouvements (réduits de 70% avec un soutien-gorge) qui permettent au sein de s’adapter et de multiplier naturellement les formes de maintien.

    photo22

    • Constatation à la fois déconcertante et ahurissante, malgré toutes nos idées reçues, leur poitrine après trois ans d’étude n’a pas molli, s’est encore moins affaissée et s’est même carrément rehaussée!

    Quand le soutien gorge n’existait pas

    photo23

    photo27

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    photo30

    photo29

     

    photo31
     
    photo26
    • Les femmes existaient déjà…
    • Et n’avaient pas de problème de soutien !

    Disparition des douleurs sans soutien-gorge

    • Deux chirurgiens des seins britanniques ont conduit des essais dans deux cliniques en Angle- terre et Galles. Ils ont étudié sur des femmes pour voir si le fait de ne pas utiliser de soutien- gorge pouvait diminuer les douleurs de poitrine. Leur étude a conclu que pour la majorité des femmes il y avait une diminution de la douleur pendant une période de 3 mois sans soutien-gorge.

    photo32

    • Pour l'étude, ils ont demandé aux femmes de ne pas utiliser de soutien-gorge pendant 3 mois, et à la place d'utiliser une sorte de T-shirt souple (ou un débardeur), pour celles qui souhaitaient un sous-vêtement alternatif, ou rien du tout.
    • A la suite de l’étude, aucune femme n’a souhaité retrouver l’usage du soutien-gorge, car elles avaient gagné aisance et confort.

    Aisance et liberté

    • Un docteur en médecine a publié ses résultats dans le traitement de la douleur des épaules chez les femmes à fortes poitrines. Dans cette étude de 5 ans, il a été suggéré que les patientes soulagent le poids de leurs épaules pour une durée de 2 semaines en allant sans soutien-gorge.

    photo33

    • L'étude a indiqué que le résultat à long terme était la présence ou l'absence de la douleur dans les épaules, si on utilisait ou non un soutien-gorge.
    • 79% des patientes ont décidé de décharger le poids de leur poitrine de leurs épaules de façon permanente en éliminant définitivement l'utilisation de soutien-gorge parce qu'il les a faits se sentir libérées.

    photo34

    Un choix: santé ou apparence

    photo35

    • Des résultats d’enquête qui laissentà réfléchir…
    • Un geste simple pour la santé, rapide et gratuit…

    photo36

    La pression sociale est le plus grand ennemi de votre santé

    • Porter un soutien-gorge n’a aucune nécessité médicale, bien au contraire…
    • Est-il plus confortable socialement d’avoir un cancer du sein que de sortir sans soutien-gorge ?

    photo37

    Normalité ou aberration ?

    • Vivre dans une société nous impose des règles que l’on ne choisit pas forcément.
    • A nous de faire un choix de comportement.

    photo01

    photo38

    Message reçu de Yves, l'auteur du diaporama que j'ai transformé en article ici. Merci à lui.

    Bonjour,

    J'ai vu que vous avez relayé mon diaporama concernant le lien entre le soutien-gorge et les effets néfastes sur la santé des femmes sur votre blog. C'est une très bonne chose que les femmes soient informées mais cette idée a hélas de nombreux détracteurs car il n'existe aucune étude médicale utilisant tous les protocoles scientifiques qui puissent confirmer cela. Donc, pour le monde scientifique, ceci est un mythe ! C'est une façon d'opposer des opinions contre des études qui paraissent censées, même si tous les protocoles ne sont pas respectés...

    En attendant, ne pas porter de soutien-gorge ne nécessite aucune ordonnance et est entièrement gratuit. Le principe de précaution me semble tellement évident ...

    Bien cordialement.

    Yves


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  • Un autre regard sur notre façon de vivre 

    Pour mieux comprendre l’aberration d’un comportement social, il faut en être extérieur…

    Ainsi l’aspect monstrueux du pied de lotus ne l'empêchait pas d'être considéré comme la partie la plus érotique du corps féminin, et les délicats chaussons ou bottillons qui les couvraient étaient, par association, source de délices.

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    Seins et soutien-gorge un comportement social

    Chez nous une des parties les plus érotiques du corps féminin sont les seins et par association le soutien-gorge.

    Pourtant les seins ne servent qu’à nourrir les enfants et sont synonymes de maternité dans la plupart des régions du monde.

    Le soutien-gorge est devenu ainsi un pilier de la mode.

    photo03photo04

    Les alertes du milieu médical

    Pourtant c'est aux environs de 1930 qu'a été publiée une première étude qui faisait déjà une relation entre les soutien-gorge et l'augmentation du nombre de femmes ayant un cancer du sein.

    Depuis, les études de chercheurs et médecins pourtant publiées se succèdent mais ne trouvent pas leur écho dans la population féminine souvent conditionnée par les médias et la publicité.

    Le soutien-gorge et le drainage lymphatique

    photo05

    Une très récente étude menée par deux médecins anthropologues met en évidence le lien entre le port du soutien-gorge et le cancer du sein.

    Compression des ganglions lymphatiques

    Le soutien-gorge compressant les divers ganglions et canaux lymphatiques, les toxines ne sont plus éliminées naturellement par le drainage lymphatique et s’accumulent dans le sein faisant apparaître au fil du temps, kystes fibrokystes et tumeurs cancéreuses.

    photo06

    Les capillaires lymphatiques

    Les capillaires lymphatiques sont sous-cutanés (juste à fleur de peau) et microscopiques. Leur compression se fait par simple pression et empêche la lymphe chargée de déchets d'aller se déverser dans les vaisseaux ou même dans les ganglions. Cette lymphe devient alors stagnante et les toxiques qu'elle n'a pas pu évacuer feront des dégâts sur place.

    Les soutien-gorge plus ou moins serrés par leurs élastiques, leurs armatures ou par leurs bonnets qui remontent les seins compriment ces capillaires et vaisseaux lymphatiques empêchant la circulation lymphatique.

    photo07

    Le réchauffement permanent des seins

    photo08

    Les soutien-gorge par leur tissu enveloppant les seins et par la compression exercée sur les seins, augmentent sensiblement la température du sein. Ceci est prouvé par des études thermographiques.

    On sait qu'un sein pré-cancéreux ou cancéreux est plus 'chaud' qu'un sein non cancéreux.

    Le massage naturel du sein libre

    photo09

    Le mouvement naturel du sein libre pendant la marche crée normalement un massage qui fait circuler le lymphe.

    photo10

    Lorsque ce mouvement naturel est entravé, la lymphe ne circule plus, les toxines s’accumulent et kystes et tumeurs apparaissent.

    Des résultats d’enquête stupéfiants

    photo11

    L’étude sur le cancer a révélé que 3 femmes sur 4 qui ont un cancer du sein portent régulièrement un soutien-gorge contre une sur 168 qui n’en portent pas du tout.

    Le risque d'avoir un cancer du sein est donc 125 fois supérieur selon que l'on ne porte pas du tout un soutien-gorge ou que l'on en porte un 24h/24.

    photo12

    Porter un soutien-gorge donnerait donc 12 fois plus de risque de développer un cancer que fumer.

    Un accessoire de mode destructeur ?

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    photo14

    Certains pays (Japon, provinces de l’Inde, Fidji, Maoris…) n’hésitent pas à faire des campagnes pour un retour au vêtement traditionnel seins libres, depuis l’apparition du cancer du sein avec l’adoption de la mode occidentale.

    En effet, les femmes vivant à la mode occidentale développent des cancers dans ces mêmes pays ou les autres vivent seins libres de façon traditionnelle et n’en développent pas.

    Un faux besoin

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    Depuis 1978, plusieurs études médicales en France, aux États-unis, au Japon et en Grande-Bretagne ont mis en avant que, contrairement aux idées reçues, le soutien- gorge peut augmenter la chute des seins.

    Pourtant les lobbies de l’industrie textile n’ont de cesse de clamer ce qu’aucune étude médicale ne dit !

    De plus, le port de cet article de lingerie et le manque d’exposition au soleil réduit le taux de mélatonine, que l’on considère comme une molécule anti-cancéreuse.

    Le soutien gorge est inutile et favorise la chute des seins.

    photo17

    Certaines études parallèles au Japon et notamment en France avec le professeur Jean-Denis Rouillon, médecin du sport au CHU de Besançon ont démontré que le port du soutien-gorge favorisait l’affaissement de la poitrine.

    L'arrêt du port du soutien-gorge est bien supporté par les femmes en terme de confort et d'esthétique. Contrairement aux idées reçues, le sein ne tombe pas mais il se raffermit, remonte et la qualité de la peau s'améliore.

    Le soutien-gorge est inutile et favorise la chute des seins

    photo18

    En effet, les ligaments de Cooper et les muscles peauciers qui sont les soutiens naturels de la poitrine ne travaillant plus, ceux-ci s’atrophient et la poitrine perdant sa fermeté s’affaisse encore plus rapidement avec le temps.

    Le sein est donc enveloppé dans « une membrane mince et très solide, d'autant plus costaud qu'elle travaille ». Il est également « suspendu comme un filet à provision » par ces ligaments reliés à la peau. D'où parfois, lors de l'arrêt du port du sous-vêtement, une désagréable sensation de tiraillement pouvant durer quelques semaines avant qu’ils ne reprennent de la vigueur.

    La croissance chez la jeune fille

    photo19

    Chaque mère, conditionnée par notre société, affuble sa fille de cet accessoire lorsque sa poitrine devient naissante.

    Ceci contribue déjà à la chute de la poitrine parce que les éléments anatomiques de suspension du sein, à la fois musculaire (le platysma) et conjonctif (l’ensemble des fascias), se renforcent lors de la croissance car la pesanteur ou les contraintes mécaniques appliquées au sein libre s’exercent.

    Les tissus composant le sein ne se distendent donc pas sans soutien-gorge, malgré une augmentation du volume mammaire. Le sein n’évolue pas vers la ptose et s’avère plus ferme.

    Étude médicale sur l’évolution du confort sans soutien-gorge (2009)

    photo20

    Extrait de la thèse de Olivier Roussel sous la direction de Jean Denis Rouillon

    Prévention de la ptose (chute des seins) sans soutien-gorge

    L’angle de l’axe du mamelon par rapport à l’horizontale augmente en moyenne de 180% !

    Il s’agit d’une évolution esthétiquement favorable puisque inverse de la ptose. Le sein libre se fortifie.

    Ne jamais porter de soutien-gorge donne donc une poitrine naturellement plus ferme et plus haute contrairement aux idées reçues.

    photo21

    En posant des capteurs sur des athlètes, des chercheurs sportifs ont pu découvrir que leur poitrine parcourt ainsi 6 cm de haut en bas et 9 cm de la gauche vers la droite au cours des diverses pratiques sportives. Ce sont ces mouvements (réduits de 70% avec un soutien-gorge) qui permettent au sein de s’adapter et de multiplier naturellement les formes de maintien.

    photo22

    Constatation à la fois déconcertante et ahurissante, malgré toutes nos idées reçues, leur poitrine après trois ans d’étude n’a pas molli, s’est encore moins affaissée et s’est même carrément rehaussée!

    Quand le soutien gorge n’existait pas

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    Les femmes existaient déjà…

    Et n’avaient pas de problème de soutien !

    Disparition des douleurs sans soutien-gorge

    Deux chirurgiens des seins britanniques ont conduit des essais dans deux cliniques en Angleterre et Galles. Ils ont étudié sur des femmes pour voir si le fait de ne pas utiliser de soutien-gorge pouvait diminuer les douleurs de poitrine. Leur étude a conclu que pour la majorité des femmes, il y avait une diminution de la douleur pendant une période de 3 mois sans soutien-gorge.

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    Pour l'étude, ils ont demandé aux femmes de ne pas utiliser de soutien-gorge pendant 3 mois, et à la place d'utiliser une sorte de T-shirt souple (ou un débardeur), pour celles qui souhaitaient un sous-vêtement alternatif, ou rien du tout.

    A la suite de l’étude, aucune femme n’a souhaité retrouver l’usage du soutien-gorge, car elles avaient gagné aisance et confort.

    Aisance et liberté

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    Un docteur en médecine a publié ses résultats dans le traitement de la douleur des épaules chez les femmes à fortes poitrines. Dans cette étude de 5 ans, il a été suggéré que les patientes soulagent le poids de leurs épaules pour une durée de 2 semaines en allant sans soutien-gorge.

    L'étude a indiqué que le résultat à long terme était la présence ou l'absence de la douleur dans les épaules, si on utilisait ou non un soutien-gorge.

    photo34

    79% des patientes ont décidé de décharger le poids de leur poitrine de leurs épaules de façon permanente en éliminant définitivement l'utilisation de soutien-gorge parce qu'il les a faits se sentir libérées.

    Un choix: santé ou apparence

    photo35

    Des résultats d’enquête qui laissent à réfléchir…

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    Un geste simple pour la santé, rapide et gratuit…

    La pression sociale est le plus grand ennemi de votre santé

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    Porter un soutien-gorge n’a aucune nécessité médicale, bien au contraire…

    Est-il plus confortable socialement d’avoir un cancer du sein que de sortir sans soutien-gorge ?

    Normalité ou aberration ?

    Vivre dans une société nous impose des règles que l’on ne choisit pas forcément.

    A nous de faire un choix de comportement.

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    Message reçu de Yves, l'auteur du diaporama que j'ai transformé en article ici. Merci à lui.

    Bonjour,

    J'ai vu que vous avez relayé mon diaporama concernant le lien entre le soutien-gorge et les effets néfastes sur la santé des femmes sur votre blog. C'est une très bonne chose que les femmes soient informées mais cette idée a hélas de nombreux détracteurs car il n'existe aucune étude médicale utilisant tous les protocoles scientifiques qui puissent confirmer cela. Donc, pour le monde scientifique, ceci est un mythe ! C'est une façon d'opposer des opinions contre des études qui paraissent censées, même si tous les protocoles ne sont pas respectés...

    En attendant, ne pas porter de soutien-gorge ne nécessite aucune ordonnance et est entièrement gratuit. Le principe de précaution me semble tellement évident ...

    Bien cordialement.

    Yves


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  • Un témoignage à écouter, pour que ça ne recommence jamais!

    Un blog  également qui permet de ne pas oublier combien l'être humain peut aussi être inhumain!


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  • Et dire qu'on s'inquiète pour les enfants de nos jours...

    MÉDICAMENTS DU PASSÉ

    Une bouteille d'héroïne Bayer's.
    Entre 1890 et 1910 l'héroïne était vendue comme substitut de la morphine ne créant pas de dépendance.
    ***
     
     
    Coca Wine
    Le vin de Coca Metcalf était une des multiples variétés de vins sur le marché contenant de la cocaïne. Tout le monde disait que ça vous rendait de bonne humeur et qu'on l'utilisait également comme traitement médical.
    ***
     

    Mariani wine

    Le vin Mariani (1875) fut le vin de Coca le plus populaire de l'époque. Le pape Léon XIII en avait toujours une bouteille sur lui. Il décerna une médaille d'or du Vatican à Angelo Mariani (le producteur).

    ***

     

    Maltine

    Produit par Maltine Manufacturing Company de New york. On suggérait de prendre un plein verre avec ou après chaque repas. Les enfants doivent prendre un demi verre.

    ***

     

     
    Un presse-papier faisant la promotion de C.F. Boehringer & Soehne (Manheim, Allemagne).
    Ils étaient fiers d'être les plus gros producteurs au monde de produits contenant de la quinine et de la cocaïne.
    ***
     
     
     Opium pour l’asthme
    ***

     

    Tablettes de cocaine (1900)

    Tous les acteurs, les chanteurs, les professeurs et les prêcheurs devaient en avoir pour une performance maximale. Sensationnel pour "adoucir" la voix.

    ***

     

    Cocaïne pour maux de dents

    Très populaire auprès des enfants en 1885. Non seulement soulageaient-t-elles la douleur, elles rendaient les enfants de bonne humeur!

    ***

     

    Opium pour nouveau-né

    Certain qu'ils dormaient bien (non seulement l'opium, mais 46% d'alcool!)

    Et nous sommes aujourd'hui inquiets à propos de l'aspirine pour enfants???

    ***

     

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  • Medecin_Indien_sm.gif

    Les médecines naturelles sont un domaine plus surveillé par les autorités que bien des activités criminelles.

    La vente de compléments alimentaires naturels (plantes, vitamines, acides gras, acides aminés, minéraux, etc.), par exemple, est réglementée de façon beaucoup plus stricte que la vente de tabac, d'alcool, d'armes, ou encore de films incitant à la violence.

    Le cas de la vitamine D

    Pour illustrer la rigidité de la situation, nous allons parler d'un produit naturel dont aucun scientifique sérieux ne peut contester les bienfaits : la vitamine D.

    La vitamine D est produite dans votre peau sous l'effet du soleil, et plus précisément sous l’action des rayons ultraviolets. Dans les pays du Nord de l’Europe, 75 % de la population souffre d’une carence en vitamine D pendant l’hiver. Cette carence est d'autant plus répandue que les foies de morue et de flétan et les poissons gras (sardines, hareng, maquereau, thon etc.) qui sont les principales sources alimentaires de vitamine D, sont de moins en moins consommés.

    Or, manquer de vitamine D a des effets graves. Cette vitamine joue un rôle essentiel dans la régulation du métabolisme phosphocalcique (indispensable au bon fonctionnement musculaire, intestinal, neurologique et à la minéralisation des os) ; elle est aussi fortement impliquée dans la synthèse de l’insuline par le pancréas. Enfin, elle exerce des fonctions physiologiques de type hormonal sécostéroïde en exerçant de multiples effets sur l’expression des gènes.

    En effet, la vitamine D influence plus de 3000 gènes dans le corps dont, par exemple, les gènes qui contrôlent la lutte contre les infections, et qui produisent plus de 200 peptides anti-microbiens.

    Et ce n'est pas tout !

    Les études scientifiques ont établi un lien incontestable entre le taux de vitamine D et l'état de santé :

    • Selon une méta-analyse de 18 études en double aveugle randomisées, un taux élevé de vitamine D dans le sang réduit le taux de mortalité toutes causes confondues [1]. Une étude en double-aveugle, ou double insu, est une étude où des personnes suivent un traitement ou un placebo (faux médicament), sans que ni leur médecin, ni elles-mêmes, ne sachent si elles reçoivent le traitement ou le placebo.
    • Une étude récente a montré que le nombre de décès au Canada pourrait être réduit de 37 000 annuellement, soit 16 % des décès du pays, si la population avait un taux de vitamine D plus éléve [2].
    • Une étude réalisée en commun par les universités de Graz (Autriche) et Heidelberg (Allemagne) est arrivée à des conclusions similaires, en février 2009 : 3200 hommes et femmes de 62 ans en moyenne ont été observés sur une période de sept années. 740 sont décédés entre temps. Parmi les personnes décédées, elles étaient deux fois plus nombreuses à avoir un taux de vitamine D réduit, qu'un taux de vitamine D élevé.
    • Grâce à ses effets bénéfiques sur le système immunitaire, la vitamine D pourrait avoir un puissant effet de protection contre le cancer. Les chercheurs sur le cancer de l'hôpital Mount-Sinai de Toronto (Canada) ont comparé les habitudes alimentaires de 760 femmes ayant le cancer du sein à un groupe de 1135 personnes en bonne santé. Ils ont constaté que les personnes ayant un bon taux de vitamine D avaient 24 % de risques en moins de tomber malade. Des résultats similaires ont été observés pour le cancer de la prostate et du colon.
    • Les chercheurs de l'Institut du Coeur de Kansas City (USA) ont également démontré un effet protecteur de la vitamine D sur le coeur et les artères. En décembre 2008, ils ont évalué les données concernant plus de 10 000 personnes test, sur une durée de dix-sept ans. Il s'est révélé qu'un taux réduit de vitamine D dans le sang doublait le risque d'infarctus. Une cause possible de cet effet protecteur est la capacité de la vitamine D à diminuer la pression sanguine.

    Face à tous ces bienfaits (et il y en a d'autres), la vitamine D présente aussi des dangers pour la santé. Mais ces dangers sont limités : il est impossible de souffrir de surdose de vitamine D par sa seule alimentation. Et il faut prendre quotidiennement des doses supérieures à 20 fois les apports journaliers recommandés (AJR), autrement dit avaler une douzaine de pilules ou d'ampoules de vitamine D par jour, pour observer des effets indésirables.

    Vous pourriez donc penser qu'une complémentation modérée de vitamine D, dans les populations déficitaires, serait favorisée par les pouvoirs publics ; que le ministère de la Santé informerait le public ; et que les fabricants de ces compléments seraient autorisés à signaler les bienfaits à attendre de cette vitamine, par exemple en diffusant les résultats des études scientifiques citées ci-dessus.

    Eh bien pas du tout. La vente de vitamine D à des doses suffisantes pour avoir un effet bénéfique réel est strictement interdite sans ordonnance d'un médecin. Ce qui explique que seule une infime proportion de la population, particulièrement bien informée et motivée, bénéficie des nouvelles découvertes sur la vitamine D.

    Non seulement les fabricants de compléments alimentaires ne sont pas encouragés à informer le public de ses bienfaits, mais il leur est même interdit de le faire, et même de vendre des doses de 5 microgrammes de vitamine D (Apport Journalier Recommandé officiel).

    De plus, s'ils vendent de la vitamine D en citant sur la notice une seule des études citées plus haut, ou s'ils laissent entendre dans la présentation du produit qu'elle peut avoir un bienfait pour la santé, quel qu'il soit, ils sont passibles des poursuites prévues à l'article L5122 du Code de la Santé Publique.

    Interdiction des allégations thérapeutiques

    Il est interdit aux fabricants de compléments alimentaires de mentionner sur leurs produits les effets  escomptés sur la santé, les maladies, en termes de prévention comme de guérison.

    Si on suit la réglementation actuelle jusqu'au bout, il est interdit à une marque d'eau minérale d'indiquer sur l'étiquette que l'eau « aide à prévenir la déshydratation ». Ce n'est pas un canular, mais l'expérience réelle que viennent de réaliser deux chercheurs allemands, dont la demande a été refusée par l'agence européenne du médicament.

    La conséquence est que les patients en sont réduits à courir des risques insensés en recherchant sur Internet des indications sur les compléments alimentaires qu'ils achètent. Risques insensés non parce que les produits qu'ils prennent pourraient leur causer des inconvénients, mais parce qu'ils ont de grands risques de passer à côté d'un produit qui pourrait les aider. Et pourtant, cette interdiction d'information est imposée au nom de « la protection de la santé publique ».

    En prenant ainsi la défense des fabricants de compléments alimentaires, je sais que je m'expose à être critiqué comme un « suppôt de l'industrie » et des « vendeurs de pilules ». Mais mon activité professionnelle ne consiste pas à vendre de tels produits : elle consiste à produire et publier de l'information sur la santé naturelle. J'aurais tout à perdre, en terme de crédibilité, à prendre le parti de tel ou tel secteur de l'industrie. Et précisément, ainsi que je le dis toujours, votre meilleure source de vitamine D est entièrement gratuite puisque c'est... le soleil !!

    Comment en est-on arrivé là ?

    L'hostilité des pouvoirs publics vis-à-vis des médecines naturelles date de la Seconde Guerre Mondiale, lorsque fut créé l'Ordre des Médecins en 1940, et que fut supprimé le diplôme d'herboriste en 1941.

    Il s'agissait de faire entrer le pays dans la médecine « scientifique moderne ».

    Il faut se replacer dans le contexte de l'époque pour comprendre cette démarche.

    En toute bonne foi, des médecins, des chercheurs et des responsables politiques ont créé un système de santé centralisant tout le pouvoir et les ressources financières pour, selon leur vision, découvrir, et imposer, la meilleure solution, le meilleur protocole de traitement pour chaque maladie.

    Cette démarche leur paraissait d'autant plus légitime que beaucoup étaient persuadés que ce n'était qu'une question de temps avant qu'on trouve un vaccin, ou des médicaments quelconques, qui viendraient à bout de toutes les maladies.

    Le Ministère de la Santé en France développa une technostructure complexe faite d'un enchevêtrement d'agences, de comités, de « hautes autorités », d'ordres et de commissions, qui prirent sur eux de prendre les grandes décisions concernant la santé de la population. Les médecins, dans leur optique, devaient être traités comme de simples courroies de transmission soumises à leurs ordres et à leurs règlements. Les patients, eux, ne devaient plus avoir leur mot à dire puisqu'ils n'avaient pas la compétence technique pour comprendre ce qui était le meilleur pour eux.

    L'Ordre des Médecins commença à imposer des protocoles de traitements standardisés, et à exclure les médecins qui refusaient de s'y soumettre. Une fois exclu de l'Ordre, un médecin n'a plus l'autorisation d'exercer la médecine. C'est donc une sanction extrêmement grave pour lui. Non seulement il perd son métier, mais il subit une opprobre telle que rares sont les médecins qui osent s'exposer à de telles sanctions – et personne ne peut leur en vouloir.

    La médecine française a donc été mise au pas, et forcée d'entrer dans un seul moule. Un nombre incalculable d'herboristes et de guérisseurs, héritiers de traditions ancestrales d'une richesse pourtant fabuleuse, se retrouvèrent du jour au lendemain passibles de poursuites pour « exercice illégal de la médecine », ou « exercice illégal de la pharmacie » sous prétexte qu'ils n'avaient pas, et ne pouvaient pas, adhérer à l'Ordre des Médecins ou des Pharmaciens. Il en fut de même dans les monastères où certains religieux se transmettaient encore des savoir-faire médicinaux datant de la nuit des temps.

    On imagine le scandale que causerait une telle décision, prise aujourd'hui par le gouvernement du Brésil par exemple, qui imposerait du jour au lendemain sur toute l'Amazonie que seuls les médecins dûment diplômés des facultés d'Etat des villes côtières occidentalisées aient le droit de prodiguer des soins, ou de donner des plantes aux malades.

    Nul doute que des mouvements énormes de protestation seraient organisés à l'ONU, à l'UNESCO, et par les ONG du monde entier au nom du « respect des cultures », pour protester contre une tentative aussi barbare de faire table rase du passé. C'est pourtant exactement l'oppression qui a été imposée, et qui continue d'être imposée, en France sur les malades et les médecins bien qu'en Occident, le savoir en occident se soit aujourd'hui très largement perdu.

    Un couvercle de plomb

    Protocoles de traitements de la moindre maladie, autorisations de mise sur le marché des médicaments, taux de remboursement, prix des consultations, critères de sélection des médecins, nombre de diplômes de médecins délivrés (le fameux numerus clausus), répartition territoriale des hôpitaux et cliniques, campagnes de vaccination, tout fut donc désormais décidé par le seul Ministère de la Santé, et la technostructure qui en dépend. Aujourd'hui encore, c'est lui, et lui seul, qui décide ce qu'il faut faire et penser dans tous les domaines de la médecine et de la santé : ce que votre médecin a le droit de vous prescrire, les traitements que vous avez le droit d'entreprendre.

    Cette situation est potentiellement génératrice de souffrance pour les patients, qui peuvent avoir l'impression de n'être qu'un rouage du système de santé. Mais elle est également d'une grande violence pour les médecins, qui peuvent avoir le sentiment que les conditions ne sont plus réunies pour qu'ils puissent remplir leur mission auprès des malades.

    L'extrême sévérité et rigidité du système de santé à l'encontre des médecins « déviants » n'a toutefois pas permis de protéger le public contre les charlatans, qui semblent même être plus nombreux que jamais, ainsi qu'en témoigne le rapport, certes critiquable par bien des aspects, de la Miviludes (Mission de vigilance contre les sectes) paru le 10 juin 2011 au sujet des dérives sectaires dans le monde des thérapies parallèles.

    Tout se passe comme si le couvercle de plomb qu'on a voulu imposer sur la santé, avait en réalité servi de serre protectrice pour que se développe, en France, une myriade de pratiques thérapeutiques douteuses. Ces dérives sont d'autant plus dangereuses que le patient en quête de solutions naturelles n'a plus aucun moyen de distinguer les thérapeutes sérieux des autres, tous étant soumis à la même suspicion, voire aux mêmes interdictions, dès lors qu'ils ne suivent pas les protocoles officiels.

    Il est alors aisé pour un authentique escroc de crier à la persécution, ou aux atteinte à la liberté individuelle, alors qu'il met réellement en danger la vie de ses victimes.

    La plus totale confusion, donc, règne.

    La révolution Internet

    C'est dans ce contexte qu'Internet est venu changer la donne.

    Pour son information sur la santé, le public éclairé se tourne de moins en moins, aujourd'hui, vers le Ministère de la Santé, dont il sait qu'il obtiendra surtout des discours aseptisés et au fond, de peu d'utilité pratique.

    En revanche, une profusion fabuleuse d'information est aujourd'hui accessible grâce à la presse indépendante et surtout sur Internet. Le site Doctissimo draine chaque jour à lui seul plus de 3 millions de visiteurs, ce qui en fait un des tout premiers sites francophones en terme de fréquentation. Une myriade d'autres sites existent pour les personnes en quête de réponses à leurs problèmes de santé, qui publient des informations gratuites ou payantes, de qualité extrêmement variable évidemment. Les publications Santé Port Royal (Pratique de Santé, Principes de Santé, Plante & Santé...) par exemple, diffusent beaucoup d'informations intéressantes.

    Pour les personnes concernées par le cancer, et qui souhaitent un complément naturel aux traitements conventionnels, la référence francophone est bien sûr www.guerir.org, le site du Dr David Servan-Schreiber, malheureusement décédé le 24 juillet dernier.

    Pour les problèmes de cholestérol et les maladies cardiovasculaires, celui du Dr Michel de Lorgeril. Pour la nutrition, le site de Thierry Souccar www.lanutrition.fr.

    En Allemagne, dans les pays scandinave, aux Etats-Unis, des centaines de lettres d'information sur la santé naturelle circulent, les plus populaires étant celle du Dr Joseph Mercola (www.mercola.com), suivie par plus d'1,5 millions de personnes quotidiennement, celle du Dr Weil, ou encore celle Dr Whitaker. Au Canada, l'encyclopédie en ligne www.passeportsante.net, un site à but non lucratif financé par la fondation Lucie et André Chagnon, s'est imposée comme une des principales références s! cientifiques sur les médecines naturelles ces dernières années.

    C'est à partir de ces sources, et bien d'autres, que je publie moi-même Santé & Nutrition, une lettre gratuite à laquelle chacun peut s'abonner librement (lien ici), aujourd'hui suivie par près de 100 000 personnes.

    Il ne s'agit que de quelques noms, forcément choisis de façon arbitraire. Je présente donc d'avance mes excuses à toutes les personnes et institutions de grande valeur, qui contribuent de façon essentielle à l'information du public, et qui pourraient légitimement s'étonner de n'être pas citées ici. Mais le but de cet article n'était pas d'en faire une liste exhaustive.

    Face à cette explosion d'information, qui apporte un courant d'air frais extraordinaire à la médecine, il est permis d'espérer que le « système de santé » officiel se trouve bientôt obligé de se ré-inventer.

    Puissions-nous, chacun là où nous nous trouvons, œuvrer comme nous le pouvons pour que la médecine se recentre sur un seul objectif : la bonne santé... naturellement.

    L'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle remercie Jean-Marc Dupuis pour son aimable autorisation de reproduire ce texte.

    Références :

    [1] Altern Med Rev 2008 ; 13(1) : 6-20.

    [2] Grant W., Schwalfenbert, G.K., Genuis, S.J., Whiting S.J., « An estimate of the economic burden and premature deaths due to vitamin D deficiency in Canada », Molecular Nutrition and Food Research, volume 54, Issue 8, p. 1172-1181, août 2010.


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