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Le Maître véritable n'est pas celui qui a le plus de disciples, mais celui qui crée le plus de Maîtres.
Le leader véritable n'est pas celui qui a le plus d'adeptes, mais celui qui crée le plus de leaders.
Le roi véritable n'est pas celui qui a le plus de sujets, mais celui qui en mène le plus grand nombre à la royauté.
L'enseignant véritable n'est pas celui qui a le plus de connaissance, mais celui qui amène le plus de gens à la connaissance.
Et le Dieu Véritable n'est pas Celui qui a le plus de serviteurs, mais Celui qui sert le plus, faisant ainsi des Dieux de tous les autres. Car c'est à la fois le but et la gloire de Dieu : que Ses sujets ne soient plus Ses sujets, et que tous connaissent un Dieu, non pas inatteignable, mais inévitable.
J'aimerais que tu puisses comprendre ceci :
Ta destiné heureuse est inévitable.
Tu ne peux pas ne pas être " sauvé " .
Il n'y a pas d'autre enfer que d'ignorer cela.
Tiré de " Conversations avec Dieu " de N. D. Walsch
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- Pour apprendre la valeur d'une année, demande à l'étudiant qui a raté un examen.
- Pour apprendre la valeur d'un mois, demande à la mère qui a mis un enfant au monde trop tôt.
- Pour apprendre la valeur d'une semaine, demande à l'éditeur d'un journal hebdomadaire.
- Pour apprendre la valeur d'une heure, demande aux fiancés qui attendent de se revoir.
- Pour apprendre la valeur d'une minute, demande à celui qui a raté son train, son bus ou son avion.
- Pour apprendre la valeur d'une seconde, demande à celui qui a perdu quelqu'un dans un accident.
- Pour apprendre la valeur d'une milliseconde, demande à celui qui a gagné une médaille d'argent aux jeux Olympiques.
- Le temps n'attend personne.
- Rassemble chaque instant qu'il te reste et il sera de grande valeur.
- Partage-les avec une personne de choix et ils deviendront encore plus précieux.
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L'amour est la première chose que l'on ressent avant que le méchant arrive
Charles
5 ans
Quand ma grand-mère a eu de l'arthrite et qu'elle ne pouvait plus mettre de vernis sur ses ongles d'orteils, mon grand-père le faisait pour elle, même après, quand il avait aussi de l'arthrite dans les mains. Ça c'est l'amour
Rebecca
8 ans
Quand quelqu'un nous aime, la manière de dire notre nom est différent. On sait que notre nom est en sécurité dans leur bouche
Justine
4 ans
L'amour c'est quand la fille se met du parfum et le garçon se met de la lotion à barbe et qu'ils sortent ensemble pour se sentir
Martin
5 ans
L'amour c'est quand vous sortez manger et que vous donnez à quelqu'un beaucoup de vos frites sans demander que l'autre vous donne les siennes
Jean-Simon
6 ans
L'amour c'est quand quelqu'un vous fait du mal et que vous êtes très fâché mais vous ne criez pas pour ne pas les faire pleurer
Ashley
5 ans
L'amour c'est ce qui nous fait sourire même quand on est fatigué
Tim
4 ans
L'amour c'est quand maman fait du café pour papa et qu'elle y goûte avant de le donner à papa, pour s'assurer que ça goûte bon
Étienne
7 ans
L'amour c'est ce qu'est la maison à Noël quand on arrête d'ouvrir les cadeaux et qu'on écoute
Robin
5 ans
Si vous voulez essayer d'aimer, il faut commencer par un ami que vous détestez
Mika
6 ans
L'amour c'est quand une vielle femme et un vieil homme sont encore amis, même quand ils se connaissent bien
Tommy
6 ans
Durant mon récital de piano, j'étais sur l'estrade et j'avais peur. J'ai regardé tout le monde qui me regardait et j'ai vu mon papa qui souriait et me faisait signe de la main. Il était le seul à faire cela et je n'avais plus peur
Clara
8 ans
L'amour c'est quand maman donne à papa le meilleur morceau de poulet
Sarah-Jeanne
5 ans
L'amour c'est quand mon chien me lèche le visage, même quand je l'ai laissé seul toute la journée
Marie-Anne
4 ans
Les cartes de Saint-Valentin disent ce que vous n'osez pas dire
Michel
12 ans
On ne doit pas dire "je t'aime" si cela n'est pas vrai. Mais si cela est vrai, on doit le dire beaucoup
Jessica
10 ans
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On se persuade souvent soi-même que la vie sera meilleure, après avoir fini et réussi ses études, après s'être marié, après avoir eu un enfant, puis un autre.
Plus tard, on se sent frustré-e parce que notre carrière n'avance pas comme on le voudrait, parce que nos chefs ne nous reconnaissent pas autant qu'on le mérite, parce que nos enfants ne sont pas encore assez grands et on pense que l'on sera mieux quand ils le seront.
Puis on se frustre parce qu'ils sont adolescents et que c'est une étape difficile à vivre, on est alors convaincu-e que l'on sera plus heureux-se quand ils auront passé cette étape.
On se dit que notre vie sera complète, quand les choses iront mieux pour notre conjoint-e, quand on possédera une meilleure voiture ou une plus grande maison, quand on pourra aller en vacances, quand on sera à la retraite.La vérité est qu'il n'y a pas de meilleur moment pour être heureux-se que le moment présent.
Si ce n'est pas maintenant, quand ? Ta vie sera toujours pleine de défis à atteindre et de projets à terminer. Il est préférable de l'admettre et de décider d'être heureux de toute façon." Pendant longtemps, j'ai pensé que ma vie allait enfin commencer. La Vraie Vie ! Mais il y avait toujours un obstacle sur le chemin, quelque chose qu'il fallait résoudre en premier, un temps à passer, une dette à payer. Alors, la vie allait commencer ! Jusqu'à ce que je me rende compte que ces obstacles étaient justement LA VIE ! Cette perspective m'a aidé à comprendre qu'il n'y a pas un chemin qui mène au Bonheur. Le Bonheur est le chemin "
- Ainsi, vis chaque instant, sois présent à ce que tu vis, dis-toi que chaque moment est bon à vivre quel qu'il soit, n'attends pas un hypothétique bonheur. Le Bonheur est là, maintenant!
- Arrête d'attendre de terminer l'école, qu'on augmente ton salaire, de perdre 5, 10 kg, de te marier, d'avoir des enfants, qu'ils partent de la maison.
- Arrête d'attendre le printemps, l'été, l'automne ou l'hiver ou tout simplement le vendredi soir, le dimanche matin ou de mourir pour décider qu'il n'y a pas de meilleur moment pour être heureux-se.
- Le Bonheur est une trajectoire et non une destination.
- Alors, étudie comme s'il n'y avait pas d'examen
- travaille comme si tu n'avais pas besoin d'argent,
- fais comme si c'était déjà réussi,
- aime comme si tu n'avais jamais souffert,
- danse comme si personne ne te regardait.
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Il y a un temps pour toute chose.
Un temps pour déchirer, un temps pour recoudre.
Un temps pour garder, un temps pour jeter.
Prends le temps de jouer, c’est le secret de la jeunesse.
Prends le temps de travailler, c’est excellent pour l’esprit.
Prends le temps de méditer, cela ôte de tes yeux la poussière terrestre.
Prends le temps d’aimer, c’est ton plus beau cadeau.
Prends le temps pour tes amis, c’est source de bonheur.
Et surtout, mon fils, prends le temps de sourire.
Un sourire donne la force à celui qui est fatigué.
Et rend le courage au plus désespéré.
Il ne peut s’acheter, se prêter, se voler.
Car c’est un bien qui n’a de valeur.
Qu’à partir du moment où tu le donnes.
Prends encore le temps de rêver.
Ca fait monter ton âme vers les étoiles.Livre de l'Ecclésiaste passage (1218)
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Attention !
Une épidémie mondiale est en train de se propager à une allure vertigineuse. L'O.M.B. (Organisation Mondiale du Bien-être) prévoit que des milliards de personnes seront contaminées dans les 10 ans à venir.
Voici les symptômes de cette maladie :
- Tendance à se laisser guider par son intuition personnelle plutôt que d'agir sous la pression des peurs, idées reçues et conditionnements du passé.
- Manque total d'intérêt pour juger les autres, se juger soi-même et s'intéresser à tout ce qui engendre des conflits.
- Perte complète de la capacité de se faire du souci (cela représente l'un des symptômes les plus graves).
- Plaisir constant d'apprécier les choses et les êtres tels qu'ils sont, ce qui entraîne une disparition de l'habitude de vouloir changer les autres.
- Désir intense de se transformer soi-même pour développer ses potentiels de santé, de créativité et d'amour.
- Attaques répétées de sourire, ce sourire qui dit "merci" et donne un sentiment d'unité et d'harmonie avec tout ce qui vit.
- Ouverture sans cesse croissante à l'esprit d'enfance, à la simplicité, au rire, au jeu et à la gaieté.
Si vous voulez continuer à vivre dans la peur, les conflits, la maladie et le conformisme, évitez tout contact avec des personnes présentant ces symptômes. Cette maladie est extrêmement contagieuse.
Si vous présentez déjà des symptômes, sachez que votre état est probablement irréversible. Les traitements médicaux chimiques peuvent faire disparaître momentanément quelques symptômes, mais ne peuvent s'opposer à la progression inéluctable du mal.
Aucun vaccin anti-bonheur n'existe. Comme cette maladie du bonheur provoque une perte totale de la peur de mourir qui est le pilier central des croyances de la société matérialiste moderne, des troubles sociaux graves risquent de se produire, tels que grèves de l'esprit belliqueux, rassemblements de gens heureux pour chanter, danser et célébrer la vie, cercles de partage et de guérison, crises collectives de fou-rire.
Prévenez au plus vite tous vos amis afin qu'il puissent prendre toutes les mesures préventives nécessaires (aux effets malheureusement temporaires) :
- Lire le plus possible d'articles de presse à sensation.
- Ne jamais manquer le journal télévisé.
- Sélectionner dans son entourage les gens qui disent du mal d'autrui, qui imaginent toujours le pire, qui sont négatifs.
- Eviter tout projet novateur et enthousiasmant, toute initiative réjouissante, se concentrer sur l'accumulation de biens et d'argent ou le regret de ne pas en avoir assez plutôt que sur la jouissance de l'instant.
- Se concentrer sur les problèmes plutôt que leurs solutions, les soucis, les défauts des autres, tout ce qui ne va pas (les gens atteints de crise de bonheur semblent malheureusement devenir incapables de se faire du souci pour ce qu'ils n'ont pas le pouvoir de changer). Les ressasser le plus possible jusqu'à parvenir à des maladies de civilisation (mal au dos, problèmes digestifs, calculs, mal de tête, rhinites, etc.).
- Regretter, surtout ce que l'on ne peut pas réparer.
- Eviter les vacances, les lectures positives, les réunions entre amis, éviter de faire l'amour, etc. Bien à vous.
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Dieu est mon père.
L'Univers est mon chemin.
L'immortalité est ma vie.
La vérité est mon culte.
La forme est ma manifestation.
La paix est mon abri.
L'obstacle est ma leçon.
La joie est mon hymne.
Le travail est ma bénédiction
L'ami est mon compagnon.
Le voisin est mon frère.
L'avenir est ma promesse.
L'ordre est mon sentier.
La perfection est ma destinée.
La nature est ma mère.
L'éternité est mon royaume.
La pensée est ma demeure.
L'amour est ma loi.
La conscience est mon guide.
L'expérience est mon école.
La difficulté est mon stimulant.
La douleur est mon avertissement.
La lumière est ma réalisation.
L'adversaire est mon instructeur.
La lutte est mon occasion.
L'équilibre est mon attitude.
La beauté est mon idéal.
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Pourquoi l’alliance se porte sur l’annulaire ?
L’annulaire est le quatrième doigt de la main.
On l’appelle annulaire, car c’est le doigt sur lequel on porte le plus souvent les anneaux et les bagues, et notamment l’alliance, le symbole du mariage.
Mais pourquoi l’alliance se porte-t-elle sur l’annulaire ?
Pour répondre à cette question, on se tourne vers l’Asie, où il y a une belle et convaincante explication donnée par les chinois.
Dans cette explication chacun de vos doigts représentera une ou plusieurs personnes :
* Le Pouce représente vos parents.
* L’Index (second doigt) représente vos frères et sœurs.
* Le Majeur vous représente (c’est celui du milieu).
* L’Annulaire représente votre partenaire.
* L’Auriculaire (le plus petit) représente vos enfants...Tout d’abord, coller vos mains paume contre paume, ensuite plier les doigts du milieu pour les mettre dos à dos.
Les extrémités des 3 autres doigts et du pouce sont ouvertes et collées, comme le montre dans la photo suivante.Maintenant, essayez de séparer vos pouces (vos parents). Ils vont s’ouvrir, parce que vos parents ne sont pas destinés à vivre avec vous tout au long de votre vie, et doivent vous quitter tôt ou tard. Recoller vos Pouces.
Séparer vos Index (vos frères et sœurs). Ils vont aussi s’ouvrir, parce que vos frères et sœurs auront leurs propres familles et leurs propres vies. Recoller vos Index.
Essayer de séparer vos petits doigts (vos enfants). Ils s’ouvrent aussi, parce qu’un jour vos enfants vont grandir, se marier, s’installer dans leur propre maison et gérer leur vie. Recoller vos petits doigts.
Enfin, essayer de séparer vos annulaires (votre femme ou votre mari). Vous allez être surpris, car vous n’y arriverez pas. Le mari et la femme sont réunis par un lien sacré et doivent rester ensemble toute leur vie pour le meilleur et le pire.
Quelle belle théorie de l’amour !
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Voici un des messages de matin magique, celui du 15 janvier 2010, de Marie-Pier Charron. Vous pouvez vous abonner. Je vous assure que c'est du bonheur chaque matin. Le formulaire d’abonnement est sur www.MatinMagique.com
«Ce que l'on crée en soi se reflète toujours à l'extérieur de soi. C'est là la loi de l'univers.»
– Shakti GawainUne chose qui est évidente dans un potager, c’est qu’on récolte ce que l’on sème. Oui, on récolte ce que l’on sème. Donc si on veut récolter des carottes, par exemple, on sème des graines de carotte. Rien d’étonnant ici.
Mais qu’est-ce qu’une graine de carotte, vraiment?
Chose certaine, il ne s’agit pas d’une coquille vide qui aspire à devenir une carotte. Il ne s’agit pas non plus d’une graine de radis qui espère fortement se métamorphoser en carotte. Non, la graine de carottes est une graine qui contient déjà l’essence de la carotte. La magie de la nature opère et l’amène à se développer, mais tout est là dès le départ. Elle est déjà remplie de ce qu’elle deviendra.
«On récolte ce que l’on sème.» Encore une fois, c’est le plus simple des principes, lorsqu’il est question d’un potager… Mais c’est une autre histoire de «transplanter» cette idée dans nos vies et de l’intégrer. Souvent, on fait exactement l’opposé: on sème des coquilles vides ou des graines de radis, et on s’étonne de ne pas récolter les carottes tant désirées. On sème des «j’espère bien…», des «je suis fatigué de…», ou des «pourquoi j’ai pas…» – bref, des coquilles vides qui aspirent à se remplir – et on est étonné de ne récolter que du vide. Ou des herbes indésirables dont on se serait bien passé.
Vous voyez où je veux en venir?
La clé magique est qu’on ne sème pas ce qu’on désire en le voulant intensément, mais en l’ayant déjà – en en étant déjà rempli. On sème ce que l’on désire non pas en le désirant, mais en portant maintenant l’essence de ce que l’on veut à l’intérieur de nous. De la même façon que la graine de carotte porte déjà en elle la future carotte.
Pouvez-vous sentir la force de ce principe?
Vibrez comme si vous y étiez. Pas «comme si…», en fait, car vous y êtes déjà. Dès que vous êtes véritablement habité par ce que vous voulez, la graine est en terre et commence à germer, même s’il n’y a encore rien de visible à récolter. Ainsi, continuez à vous ajuster intérieurement, cessez de forcer inutilement, laisser la magie de la nature opérer et dites un beau grand OUI aux occasions qui vous seront présentées. Ça vous dit?
Bon week-end, et à lundi!
Marie-Pier
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Si je pouvais attraper un arc-en-ciel, je le ferais juste pour toi,
Et je partagerais ainsi avec toi sa beauté les jours où tu es mélancolique.
Si je pouvais, je construirais une montagne que tu pourrais considérer comme ta propriété,
Un endroit où l'on peut être seul, un endroit où trouver la sérénité.
Si je pouvais prendre tes problèmes, je les jetterais à la mer.
Mais je me rends compte que toutes ces choses sont impossibles pour moi.
Je ne peux pas construire une montagne, ni prendre un arc-en-ciel lumineux.
Mais laisse-moi juste être ce que je sais faire le mieux : un ami toujours présent.Auteur inconnu
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