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  • De l'auto coaching!


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  • J'ai le cœur qui palpite! Ça va vite, il donne des coups dans ma poitrine, comme si je sentais le passage de chaque aile d'un moulin à vent! Pourquoi s'emballe-t-il comme ça?

    Je suis fatigué! Tu m'en demandes tellement…

    Voilà qu'il me répond maintenant. Dialoguer avec mon cœur, pourquoi pas? Voyons… Tu dis mon cœur que je t'en demande beaucoup? Peux-tu développer?

    Tu sais que je bats pour toi environ trente six millions de fois par année, que tu dormes ou que tu sois réveillée. J'organise la circulation de ton sang dans plus de cent mille kilomètres de veines, d'artères et de couloirs si petits que les hommes les ont nommés capillaires.

    Oui, il paraît… Merci, mais tu fais ton travail de cœur, alors où est le problème?

    J'y arrive, mais avant encore un chiffre, combien crois-tu que cela fasse de litres de sang par année que je fais circuler pour toi?

    Des milliers je suppose.

    Cela fait en moyenne deux millions et sept cent mille litres. Ça c'est le travail normal du cœur. De plus, tu me surcharges avec beaucoup d'autres travaux que tu pourrais m'éviter.

    De quels travaux parles-tu?

    Ceux qui me demandent le plus d'énergie, qui me font battre plus fort? Lorsque tu as peur de quelque chose tes glandes surrénales produisent de l'adrénaline qui m'envoie un surplus d'énergie pour résister à une situation où tu te sens en danger. Alors je bats, je bats mais j'ai souvent l'impression que cela aurait pu être évité, si tu prenais seulement de temps en temps un moment pour réfléchir et te regarder en face.

    Cela se produit tout seul, la peur est incontrôlable. Je me sens mal tout entière quand je vis des moments comme ceux-là.

    Je te suggère de réfléchir aux raisons réelles de tes peurs. Première question, te rends-tu vraiment compte quand cela t'arrive?

    Où veux-tu en venir?

    Si tu te trouves en forêt et que tu vois venir un ours dans ta direction, ou, si tu dévales à toute allure une pente sans savoir vraiment comment tu vas t'arrêter, la peur est réelle parce que ton corps physique est en danger. Tu as besoin d'un surplus d'énergie pour réagir rapidement et te sauver de cette situation difficile. Mais reconnais que ce genre de situation n'arrive pas tous les jours, une peur réelle est plutôt rare!

    Oui, tu as raison mon cœur, les peurs où le corps physique est en danger sont assez inhabituelles. Mais alors de quoi parles-tu?

    Je te parle de peurs telles que, être rejetée, être humiliée, être abandonnée, être ridicule. Un exemple. La dernière fois que tu t'es trouvée au centre commercial et que tu as vu de loin une personne que tu connais et à qui tu reconnais beaucoup de qualités, tu aimes sa présence, tu aurais voulu parler avec elle un instant, aller prendre un café. Au même moment, elle a retrouvé quelqu'un et est partie en grande conversation. Elle ne t'a même pas vue. Quel sentiment as-tu eu à ce moment-là? Ne t'es-tu pas sentie rejetée? D'ailleurs, j'ai battu plus fort tout-à-coup… Alors

    Oui, je me suis sentie mise de côté. J'ai pensé qu'elle préférait l'autre et cela m'a rendue très triste.

    As-tu seulement vérifié? Peut-être ne t'a-t-elle même pas vue. Si tu voulais vraiment passer un moment avec elle, tu pouvais aller vers elle et le lui demander. Tu aurais été au clair. Bien sûr qu'elle aurait pu refuser. Tu aurais eu la confirmation de ta peur, elle ne t'aime pas, elle préfère la compagnie des autres, elle est indifférente à toi, cet attrait n'est pas réciproque.

    Tu as vu juste. En l'occurrence, que proposes-tu comme attitude?

    Je suis un spécialiste. Réfléchis. Je suis le centre de ton corps, au niveau émotionnel à quoi sert le cœur?

    A aimer…

    Bingo, à aimer. Alors, continuons avec l'exemple du supermarché. Dans le pire des cas, mais ce n'est pas une certitude, la personne n'apprécie guère ta compagnie. Deuxième question, crois-tu vraiment que l'on puisse être aimé de tout le monde. Les politiciens te le diront, faire plus de cinquante pour cent de fans, c'est déjà beau. Cela veut dire qu'il n'y a qu'une possibilité sur deux pour qu'une personne t'apprécie, et cela dans le meilleur des cas… tu veux vraiment subir cette loi du sort?

    Non… Que proposes-tu comme solution miracle?

    Tu as raison de parler de miracle, cela peut lui ressembler, mais c'est bien plus simple. Au lieu d'attendre l'amour des autres, aime-toi toi-même… Cela fait partie des premiers commandements que tu as appris enfant, t'en souviens-tu? Tu aimeras Dieu, ton prochain et toi-même.

    Voilà que tu me parles de religion, et si je te disais que je n'y crois pas?

    Veux-tu une solution à ton problème? Oublie le mot religion! Garde à l'esprit qu'elles enseignent toutes la même chose, l'amour. Si cela permet d'améliorer ta vie, ton bien-être, tu peux le voir comme une philosophie. Aimer Dieu, n'est-ce pas aimer une forme d'énergie, aimer la vie aimer les montagnes la mer les arbres les fleurs les animaux et la liste pourrait être longue.

    Tu parles de la nature et des animaux?

    Oui, cela peut aussi s'étendre à la beauté du ciel étoilé et aux trésors minéraux que l'on peut trouver enfouis sous terre.

    C'est vrai, on dit que cela ouvre le cœur de regarder un beau ciel étoilé ou un diamant aux mille couleurs.

    Fais attention à ce que tu dis, j'y reviendrai. Pour l'instant, continuons avec l'amour. Aimer son prochain. Je te donne une astuce qui va t'aider à aimer ton prochain. Imagine que chaque être humain est une créature de Dieu… comme toi-même tu es une créature de Dieu. Encore lui je sais, mais c'est vraiment le moyen sûr pour toi d'aller vers l'harmonie et l'équilibre.

    Je ne l'ai pas vraiment appris comme cela, Dieu. C'était plutôt un juge omniprésent qui séparait le monde en deux, les bons des méchants. Le nombre de possibilités de faire partie des méchants étant si grand, je me retrouvais souvent avec eux… Alors, j'ai un peu laissé de côté ce Dieu sévère et distant qui avait à mon goût beaucoup trop d'intermédiaires sur terre…

    Je comprends… Mais sois indulgente! Chacun fait de son mieux, et ceux qui t'ont paru sévères aussi croyaient être dans le vrai. Aujourd'hui, tu es adulte et tu peux te faire ta propre idée. Ainsi, si c'est pour te sentir mieux dans ta peau, pourquoi ne pas croire à quelque chose qui t'apaise? Que risques-tu?

    Cela me semble intelligent, confortable, peut-on résumer?

    Aime la nature, aime les minéraux les végétaux les animaux la terre qui te nourrit, le ciel au-dessus de ta tête. Aime les hommes en cherchant le meilleur dans chacun d'eux. Mais surtout [AIME-TOI].

    Comment cela? Tu me demandes d'être orgueilleuse?

    Non. Aime-toi sincèrement. Donne-toi l'amour que tu attends des autres. Fais-toi dix compliments chaque matin. Félicite-toi de chaque petite victoire sur l'adversité. Pardonne-toi si tu n'as pas été à la hauteur. Aies de la compassion pour toi-même. Tu vois comme cela peut être plus simple? Au lieu d'attendre d'être appréciée, aimée, reconnue, admirée par les autres, aime-toi toi-même. Ton besoin journalier d'amour sera assurément comblé. Attendre l'amour des autres, c'est plus incertain.

    Cela a beaucoup de sens, je vais essayer…

    Comment tu fais pour essayer, cela veut déjà un peu dire que tu ne le feras pas. Non, aime-toi un point c'est tout. Ecris-le partout, dans ton agenda, sur la porte du frigo, sur le miroir de la salle de bains. Pour renverser le mouvement il faudra un peu de temps. Arrête de te critiquer sans cesse. Arrête de rechercher l'amour chez les autres. AIME-TOI.

    Mais l'amour, c'est aussi à deux?

    Etre amoureux? La passion? La aussi, j'ai deux ou trois choses à te dire. Il ne faut pas confondre l'amour et la passion, la fusion. Quant tu tombes (et le mot veux bien dire ce qu'il veut dire) amoureuse, tu oublies tout le reste. Ce qui compte dans ta vie c'est de te trouver à côté de l'être aimé. Tu te retrouves dans un état second.

    Un état si bon… Je vole, je plane, il y a des étoiles dans ses yeux et il allume des étoiles dans les miens. Plus rien n'existe que lui et moi et nous voyageons sur une autre planète, celle de l'amour.

    Non, ce n'est pas de l'amour. Cette attirance réciproque existe depuis toujours entre mâle et femelle, c'est comme ça que l'on procrée… Il est préférable que ce soit réciproque sinon attention au rejet ou tout autre blessure qui se réveillera.

    Tu es vraiment terre à terre pour un cœur… Que fais-tu de toutes ces belles histoires d'amour. Samson et Dalila, Roméo et Juliette, toutes les princesses et tous les princes charmants…

    Les contes sont riches d'enseignements pour les humains. Justement dans ces histoires, ce sont les épreuves de la vie qui font que l'amour entre l'homme et la femme devient plus fort et qu'il résiste. Les premiers moments, c'est comme l'allumage, la mise en route. Ensuite, c'est la qualité de chaque partenaire et la qualité du voyage qui font la différence.

    Et l'amour sans problème [Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants] qui fait rêver toutes les petites filles?

    C'est à ce moment-là que commence vraiment l'histoire. Deux êtres l'un à côté de l'autre vont apprendre à [arrondir les angles] pour ne pas se blesser sur un angle affûté…

    Il me semble que cela devient moins passionnant?

    Apprendre à aimer, sans attente, en respectant son espace et celui de l'autre, en se donnant le droit d'avoir des besoins, des limites, des désirs, des faiblesses, en acceptant même si on est pas d'accord ou si on ne comprend pas, aimer d'une manière inconditionnelle, voilà le vrai amour, l'amour libre. Voilà qui est loin de manquer de piquant…

    Il faut être une sainte pour arriver à aimer comme cela?

    Si tu veux. Mais d'abord, c'est une manière intelligente puisque toi seule tient les rênes et moi je donnerai de l'amour de la compassion du pardon, tu n'attendras rien en retour puisque tu auras appris à t'aimer toi-même. L'amour de l'autre, ce sera cadeau.

    Je fais quoi en ce moment?

    Tu ne respectes pas toujours l'espace de l'autre. Tu veux le changer, gommer ses défauts certainement parce qu'ils te rappellent les tiens, tu contrôles, tu tiens le [carnet du lait], mais oui quand tu dis, j'ai fait ceci et cela pour toi, c'est à toi maintenant, je veux ceci ou cela…

    Tu as raison… le cœur, de plus cela me paraît plus détaché, plus léger à vivre…

    Il y a encore une chose qui me fatigue… Tu veux toujours te plier en quatre pour aider les autres. C'est une belle qualité que d'aimer aider les autres, la question est de savoir pourquoi tu le fais. Est-ce juste pour rendre service? Qu'attends-tu en retour? Une éternelle reconnaissance? La réciprocité en cas de besoin?

    Evidemment, si je rends un service, la personne pourra au moins avoir la délicatesse de m'en rendre un autre en cas de besoin?

    Et voilà… source de déceptions… Si tu donnes vraiment un coup de main et n'attends rien en retour, tu seras libre. Ou alors dis-le [Je te rends service et j'attends que si j'en ai besoin tu fasses la même chose pour moi]. N'est-ce pas préférable? Je te suggère de croire plutôt à la loi de cause à effet, tu récoltes ce que tu sèmes. Mais ce n'est pas à toi de décider à quel moment et par quel personnage cela arrive. Laisse faire…

    Chapeau bas, le cœur, tu es un grand sage et intelligent avec cela.

    Maintenant que tu m'écoutes un peu, j'ai encore quelques conseils à te donner.

    De quoi s'agit-il?

    Je suis à ton service, je bats pour toi, je te montre comment aimer pardonner avoir de la compassion… Je suis quelquefois décontenancé quand j'entends de ta bouche [Cela me fend le cœur] ou [je te donne mon cœur] ou [J'ai le cœur qui éclate] ou [J'ai le cœur brisé] ou [J'ai le cœur coupé en deux].

    Ces mots s'utilisent pour exprimer des sentiments de tristesse et de chagrin.

    Je suis un organe, je suis fait aussi de matière. Quand tu dis que cela me fend, que je suis brisé, que tu me donnes à quelqu'un, je fais quoi?

    C'est une question de langage.

    Fais attention aux mots que tu utilises, je connais le sens des mots fendre, briser, et je vois cela comme une fin pour toi et moi…

    Non, je tiens beaucoup à toi. Je ferai attention à mon langage.

    Je peux battre encore longtemps si tu écoutes ces quelques conseils et si tu me délivres de ce qui n'est pas bon pour toi et qui représente aussi une surcharge de travail pour moi.

    D'accord. Quand tu te mettras à battre plus fort comme ce matin je penserai à ce que tu m'as dit.

    Je vis au milieu de ton corps, je communique avec toutes les parties de ton corps physique, mais aussi avec ton mental, ta tête. Pour terminer cette conversation, note encore quelque chose, j'ai besoin d'harmonie entre la tête, le corps et moi, le cœur.

    La tête, le corps et le cœur?

    Oui, si ta tête, qui est une forte tête, veut toujours avoir le dessus et ne pas laisser les sentiments d'amour de pardon de compassion prendre le dessus, ce n'est pas bon pour nous. Si le corps a besoin de repos, ou d'exercice, écoute-le aussi, aime-le ce sera bon pour nous… Pour notre bien, en cas de doute, laisse-moi le pouvoir de décision, avec ma philosophie, tu ne peux pas te tromper…

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  • Un porteur d'eau indien avait deux grandes jarres suspendues aux 2 extrémités d'une pièce de bois qui épousait la forme de ses épaules.
    L'une des jarres avait un éclat, et, alors que l'autre jarre conservait parfaitement toute son eau de source jusqu'à la maison du maître, l'autre jarre perdait presque la moitié de sa précieuse cargaison en cours de route.
    Cela dura 2 ans, pendant lesquels, chaque jour, le porteur d'eau ne livrait qu'une jarre et demi d'eau à chacun de ses voyages.
    Bien sur, la jarre parfaite était fière d'elle, puisqu'elle parvenait à remplir sa fonction du début à la fin sans faille.
    Mais la jarre abîmée avait honte de son imperfection et se sentait déprimée parce qu'elle ne parvenait à accomplir que la moitié de ce dont elle était censée être capable.
    Au bout de 2 ans de ce qu'elle considérait comme un échec permanent, la jarre endommagée s'adressa au porteur d'eau, au moment ou celui-ci la remplissait à la source.
    "Je me sens coupable, et je te prie de m'excuser."
    "Pourquoi ?" demanda le porteur d'eau.
    "De quoi as-tu honte ?"
    "Je n'ai réussi qu'à porter la moitié de ma cargaison d'eau à notre maître, pendant ces 2 ans, à cause de cet éclat qui fait fuire l'eau. Par ma faute, tu fais tous ces efforts, et, à la fin, tu ne livres à notre maître que la moitié de l'eau. Tu n'obtiens pas la reconnaissance complète de tes efforts", lui dit la jarre abîmée.
    Le porteur d'eau fut touché par cette confession, et, plein de compassion, répondit:
    "Pendant que nous retournons à la maison du maître, je veux que tu regardes les fleurs magnifiques qu'il y a au bord du chemin"
    Au fur et à mesure de leur montée sur le chemin, au long de la colline, la vieille jarre vit de magnifiques fleurs baignées de soleil sur les bords du chemin, et cela lui mit du baume au cœur. Mais à la fin du parcours, elle se sentait toujours aussi mal parce qu'elle avait encore perdu la moitie de son eau. Le porteur d'eau dit à la jarre
    "T'es-tu rendu compte qu'il n'y avait de belles fleurs que de TON côté, et presque aucune du côté de la jarre parfaite? C'est parce que j'ai toujours su que tu perdais de l'eau, et j'en ai tiré partie. J'ai planté des semences de fleurs de ton côté du chemin, et, chaque jour, tu les as arrosées tout au long du chemin. Pendant 2 ans, j'ai pu grâce à toi cueillir de magnifiques fleurs qui ont décoré la table du maître. Sans toi, jamais je n'aurais pu trouver des fleurs aussi fraîches et gracieuses."
    Morale de l'histoire: Nous avons tous des éclats, des blessures, des défauts. Nous sommes tous des jarres abîmées. Certains d'entre nous sont diminués par la vieillesse, d'autres ne brillent pas par leur intelligence, d'autres trop grands, trop gros ou trop maigres, certains sont chauves, d'autres sont diminués physiquement, mais ce sont les éclats, les défauts en nous qui rendent nos vies intéressantes et exaltantes Vous devez prendre les autres tels qu'ils sont, et voir ce qu'il y a de bien et de bon en eux.
    Il y a beaucoup de positif partout. Il y a beaucoup de bon en vous, mes ami(e)s!
    Ceux qui sont flexibles ont la chance de ne pas pouvoir être déformés.
    Souvenez-vous d'apprécier tous les gens si différents qui peuplent votre vie ! Sans eux, la vie serait bien triste.
    Merci d'apprécier amicalement nos imperfections - et, plus important pour vous toute cette prochaine année - d'apprendre à aimer les vôtres!


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  • Ce vendredi 18 septembre à 19h00, au boulevard de Grancy 30 à Lausanne

    Soirée décodages ? Mais c'est quoi ?

    Vous avez le dos qui grince parfois! Ou bien les jambes lourdes quand il fait chaud! Des maux de tête qui reviennent ou un problème de peau! Le décodage est une technique simple qui vous permet de chercher le message de votre corps puisque c'est sa manière de vous parler! Apprenez à l'écouter et à devenir votre propre thérapeute!.

    Définition
    Le décodage est un outil de développement personnel. L'idée est la suivante : lorsque le corps dysfonctionne, c'est pour nous alerter au sujet d'une manière de penser, une croyance, un attitude, enfin quelque chose qui n'est pas bon pour l'évolution de l'âme qui l'habite. Et l'idée suivante est : lorsque l'âme qui habite le corps a compris le message, le corps sait aussi refonctionner normalement! Vous me direz, mais les maladies telles que cancer, sida, et autres grippes de toutes sortes? Et bien parfois l'âme n'arrivera pas à saisir et à aller plus loin, et elle s'en ira vers d'autres vies!
    Pour revenir à l'outil, il y a une procédure à suivre, des questions à se poser pour chercher les réponses et parfois, voire souvent, les trouver.
    Des pistes sur mon livre : Conversations avec mon corps 

    Bien à vous

    Christiane


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